Lancée lors du lancement de la keynote de Google I/O la semaine dernière, la Google Watch n’a pas encore livré ses secrets. Le Giant Explorer devrait le sortir au printemps, avec ses nouveaux téléphones Pixel 7, mais n’a fourni aucun détail technique à ce sujet. 9To5 Google comprend que c’est une puce proposée par Samsung qui sera au cœur de son savoir-faire, l’Exynos 9110 qui n’est pas jeune.
Bien sûr, ce système à base de puces a été conçu par Samsung pour la première Galaxy Watch à sortir en 2018. Quatre ans plus tard, cette puce est évaluée à 10 nm et selon les deux cœurs du 1,1 GHz Cortex-A53 devrait avoir du mal . une nouvelle Apple Watch (double cœur à 1,8 GHz, calibré à 7 nm) ou encore une nouvelle puce conçue par Samsung. Exynos W920 mis à niveau pour Galaxy Watch 4 évalué à 5 nm devrait offrir les meilleures performances, par exemple.
Pourquoi avez-vous choisi un SoC aussi ancien pour la Pixel Watch ? Peut-être parce que le projet a été lancé il y a quelques années, alors une puce de Samsung est la meilleure option. De plus, l’Exynos 9110 est un peu plus court que ceux que l’on trouve dans la plupart des horloges de l’environnement Android et il faudra attendre de voir ce que Google fait côté logiciel pour considérer la lenteur ou la vitesse. Autre point important, l’autodétermination est encore un grand secret et peut compter sur plus qu’un simple travail brut.
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