Les panameens

Très subjectif, car comment parler d'une population en n'y étant que depuis quelques jours, et essentiellement autour de la capitale...

Ils parlent espagnol, sont de tailles moyenne, plutôt avec une surcharge pondérale.

La couleur de la peau dans la rue va du blanc livide au noir le plus profond. Une communauté asiatique semble bien présente, avec des commerces tenu par chinois à chaque coin de rue. Je n'ai pas eu l'occasion de rencontrer des populations nord-africaine, du magreb.

Il semble y avoir, comme un peu partout ailleurs, une frange de la population extrèmement riche, une classe moyenne limité, et une population pauvre.

Un peu comme ailleurs, les travaux les plus ingrats semblent exercés par les gens à la couleur de peau la plus noire...

Les gens en ville s'habillent, et il est très surprenant malgré des températures avoisinant les 30° en saison des pluie, de voir dans les rues des femmes en tailleurs, des hommes en chemises et pantalon longs. Très propre sur eux.

Pour nous europeens, non habitués à cette chaleur... on se retrouve en quelques minutes avec les rillettes sous les bras, le crane en sueur, dégoulinant de partout.

On voit des gens travailler partout, du vendeur de cigarette à l'unité, aux allées de femmes vendant des tickets de tombola, en passant par des vendeurs ambulant (ils vendent tout... de la langouste , à la glace, des fruits, des ombrelles, des cartes, ..).

Nous n'avons pas vu de mendiant (un seul à la sortie d'un supermarché local).

Ce panameen guide les voitures en leur indiquant où se trouvent les places libres sur les parking, ou encore, en surveillant l'arrivée de danger (piéton, autre véhicule). Certains automobilistes lui donnent la pièce.

Les habitations sont variés, là encore de la misère à la richesse.

Ici un cliché volé dans le vieux quartier, près de l'ambassade de france.

On voit dans les rues, des gens en provenance du nord-est du pays, une communauté indienne (les Kunas) venant eux aussi chercher "fortune".

Cette vieille dame, en train de chercher un lieu pour mettre en place son étal, se lave les pieds ( ou se rafraichit ?) dans une flaque d'eau sur la place de l'ambassade.

Il y a des espèces d'énormes (immmmmmmenses ) centres commerciaux qui semblent très apprécié par les locaux.

Une vrai fourmilière, je vous laisse juger: