Ayant été malmené par l’opposition bourgeoise de Santa-Cruz, Evo Morales s’en tire finalement très bien, augmentant même son appui de près de 10% auprès de l’électorat!
Ainsi, le socialisme gagne en popularité dans ce pays où l’injustice était jusqu’ici, flagrante et désolante.
Avec cette victoire, Evo Morales pourra se permettre de continuer ses réformes agraires, dont les nationalisations des ressources naturelles, ces biens communs qui de toute façon, marxistement parlant, nous appartiennent à nous tous.
Malheureusement, les opposants aussi, les riches de Santa Cruz, gagnent en popularité. Mais est-ce que c’est relatif? Justement oui. En fait, c’est un peu comme si Westmount voulait déclarer son indépendance, mais en plus, seulement après avoir pillé toutes les ressources du Québec pour enrichir une minorité parasitaire non-élue.
Car de fait, Santa Cruz dans sa situation, détient une bonne part des richesses naturelles de la Bolivie. Mais n’en déplaise à cette minorité mieux nantie, le socialisme va de l’avant. Et peu importe ce qu’en dira la communauté internationale, même Washington qui a l’habitude de cracher son venin anti-socialisme, il est inadmissible de séparer ainsi un territoire de ses richesses et de les restreindre aux riches.
Bravo Evo Morales, vive le socialisme!
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