Oh! répéta doucement le vieil oncleaux yeux closet
il fut le seul à s'entendre dire..
"Un acte qui transforme la vie ne peut être que solitaire, on doit fatalement s'isoler pour être soi-même."Arthur H "On fait un tas",une expression de sa vie candide.Il était alors questionde plonger ensemble dans le mitant du litoù comme il est d'usage la rivière est profonde.
Même les rares bruits semblaient accablés par le soleilà part les cigales bien sur toujours aussi inconvenantesque les goélandsd'autres villégiatures,quand rien ne les arrête à sa foutre du monde;à juste titre.
Casser la voix...
"Où ce que boût dans la tourbe ce mon coeur casse les fragments les révèle à la joie du feu.De la rive, j'assiste les contours de ma mère la terre, ses tréfonds tabassés.(la mémoire viendra plus tard, à froid, roidie sur les aiguilles creuses comme autant de deuils)Je palpe, je redoute ses éclaboussures, ses guenilles, comme ils disent. Insolents, plusieurs oiseau chutent dans la vapeur.Il est grand temps que je parte. Ce qui arrive ne me regarde pas, ni la disparition blanche, ni les vacarmes du mélange, ni la pluie rouge.Je tends la main dans les flammes. Le suint grésille, la chait saigne dans les mêmes tons.'"Laurent Danan-Boileau extrait de: "Cratère"
l'été encartes postales: envoyée par Jonas envoyée par Lydie
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Suite à l'ordonnance d'expulsion décrétée le 8 juin par le tribunal d'instance de Saint-Nazaire et le compte à rebours inhérent à l'affaire (27 août), le Collectif Urgence Sociale de Saint-Nazaireorganise à cette date un rassemblement (pacifique) à 14 h devant les maisons solidaires au 109 boulevard Jean -de -Neyman \\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[{{{{{{
"Les poètes ancines et les nouveaux poètesont beaucoup vieilli cet an dernier:c'est que les crépuscules sont aujourd'huitrès ennuyeux, quand zaux catastrophes,c'est une autre histoire.Le long des rues que j'apprends par coeurdes corps innombrables font l'éternelle musique des pas-voilà un son que ne pourra jamais reproduire la pôésie-A quoi bon tout ça?Pour que son écho poussiéreux s'agglomèreen ce qui fut jardin de rois!Ne venez pas me parler de mystère, insomniauesamants à la longévité singulièreauxquels le monde paraît devoir des pauses:A t-on jamais résolu le mystère du nombril? "Roque Dalton extrait de: "Taverne" `````````````````````````````{#########
LES FANFARFELUES