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Vaccination contre la COVID-19 : un remède pire que le mal ?

Publié le 27 août 2022 par Guy Deridet

Cet article a déjà été publié mais il y a eu des mises à jour. Il a donc fait l'objet d'une nouvelle publication le 17 aout dernier.



Source : https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/la-grande-majorite-des-effets-indesirables-sont-attendus-et-non-graves. C'est l'organisme officiel français de pharmacovigilance Source : https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/la-grande-majorite-des-effets-indesirables-sont-attendus-et-non-graves. C'est l'organisme officiel français de pharmacovigilance Source : https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/la-grande-majorite-des-effets-indesirables-sont-attendus-et-non-graves. C'est l'organisme officiel français de pharmacovigilance Il se trouve qu'en matière d'effets indésirables, voire délétères, des vaccins contre la Covid-19, les mises à jour sont importantes.

Comme il ne faut certainement pas compter sur les autorités sanitaires de ce pays et encore moins sur le gouvernement pour nous informer sur les suites de ces vaccinations, alors qu'il existe des organismes officiels de pharmacovigilance pour faire ce travail et que leurs données sont consultables par tout un chacun, je fais le boulot que devraient faire les médias grand public de ce pays.

À cet égard, compte tenu de l'importance des informations officielles contenues dans ce document, le simple fait que les autorités sanitaires et le gouvernement n'en parlent pas suffit à prouver que leur attitude, sur ce sujet notamment, est pour le moins suspecte.

Je rappelle que la doxa dans ce domaine est la suivante : les effets « indésirables » (apprécier la litote) de ces vaccins n'existent pas. Point barre, et surtout pas de retour à la ligne.

Et ce, en dépit (ou à cause ?) du fait que tous les jours le nombre d'effets indésirables (appelons-les choses par leur vrai nom) de ces vaccins augmente notablement. Chez nous et dans le monde entier.

J'invite tous ceux qui seraient tentés de penser « que l'on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs» à considérer que ce dicton populaire ne s'applique pas, et ne saurait s'appliquer, aux vaccins.

Il suffit de consulter l'histoire de la vaccination depuis les années 1950 pour constater que par le passé, on a arrêté sans délai des campagnes de vaccination pour infiniment moins d'effets indésirables que ceux que l'on constate, et que l'on constatera, dans les décennies prochaines, avec les vaccins contre la Covid-19.

N.B : concernant le graphique officiel de l'Ansm, vous noterez l'indécence du titre même de cet article.

À savoir : « la grande majorité des effets indésirables sont « attendus » et « non graves» ».

Et, que dit le graphique ? effets indésirables graves : 24 %. Soit près d'un quart des effets indésirables ! Je rappelle que l'on a arrêté des campagnes de vaccination pour un mort seulement.

Sans compter que vous pouvez être assurés que les cas graves que l'on a bien voulu comptabiliser devaient vraiment être graves. Et, qu'en revanche, c'est bien connu des statisticiens sérieux dans ce domaine, beaucoup de cas graves ne sont pas comptabilisés, ou parce qu'ils ne sont pas du tout remontés par les médecins, ou pas correctement.


Lelien vers l'article de notre-planete.info


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