Depuis le temps qu’il disait qu’il monterait là-haut... Au sommet de la montagne au fou, par-delà les limites dévolues aux hommes, là où ne survivent que quelques bêtes, au-dessus de la ligne où même les sapins renoncent.
Grimper tout en haut, à la seule force de ses mains, sans corde ni matériel, son envie en bandoulière et son énergie comme attrape-cœur. Sûrement qu’il est resté un moment à sourire au-dessus du monde, son but atteint, sa quête terminée. Ça doit en faire des frises dans l’estomac quand on vit quelque chose comme ça.