La lutte contre la fraude est ainsi devenue un enjeu majeur pour les établissements bancaires, qui doivent se donner les moyens de s’en prémunir pour chaque prestation et à toutes les étapes de la relation client. Aucun processus métier n’est épargné, du segment « particuliers » à l’offre « professionnels », de l’onboarding crédit aux opérations du quotidien, voire même aux successions ! Pour lutter contre la fraude, les banques peuvent bien sûr s’appuyer sur les dispositifs de conformité réglementaire liés au respect du KYC (« Know Your Customer ») et de LCB-FT (lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme). Le défi pour les établissements bancaires ? Parvenir à contrecarrer la fraude sans dégrader l’expérience client. Un équilibre qui peut être trouvé par les acteurs bancaires en externalisant leurs contrôles auprès de tiers de confiance spécialistes du secteur.
Autres articles
-
Comment les Français se préparent aux économies d'énergie pour cet hiver ?
-
Covid-19 : très forte hausse du nombre de tests chez les jeunes de moins de 16 ans
-
Suicide : comment mesurer l’impact de la crise sanitaire ?
-
Une maison connectée, c’est une maison sécurisée
-
Vacances 2022 : quelles sont les destinations européennes les moins chères ?
La fraude au paiement, ou l’utilisation illégitime d’un moyen de paiement ou de ses données, doit également faire l’objet d’une vigilance particulière pour les établissements financiers. Il faut absolument redoubler de vigilance face à la variété́ des fraudes au paiement, mesurer leur impact du point de vue des établissements bancaires et déployer des dispositifs leur permettant de sécuriser ce sujet sensible.
A propos de l'auteur : François Quais est Directeur marché Banque chez Tessi.