J'ai pris l'habitude, de temps en temps, de photographier les animaux que je rencontre en voyage. Plus souvent qu'autrement, il s'agit de chiens, ou encore d'oiseaux, et plus rarement d'animaux exotiques.
Il arrive évidemment que je croise des chats, et ces félins font toujours de bons sujets de photos, particulièrement quand on est dans une ville médiévale.
Voici donc une collection de photos de chats captés dans diverses villes de Toscane et d'Ombrie (région voisine, au sud) dans les trois dernières semaines de ce voyage. Si je fais un spécial pour les chats de cette région, c'est que j'en ai croisé une quantité non négligeable... ils ont donc, en tant que groupe, imposé la thématique d'un billet.
Chat noir et blanc, dans les vestiges du théâtre romain de Fiesole.
Gris et blanc au repos, toiture d'une maison, San Giimignano.
Celui-là était très vocal, un costaud mais doté d'une petite voix aigüe. Cour intérieure privée. Assise.
Ce sympathique chat caramel relaxait au soleil, mais quand il m'a vu m'accroupir pour prendre une photo, il s'est immédiatement rapproché de moi, donnant cette image plutôt que celle du chat couché au soleil.
Chatte assise à Assise. (hahaha, trop tentant :-).
Bon, je triche ici, avec celui-là, qui était en Ligurie, et non en Toscan-Ombrie. Il était, quelques secondes avant ce cliché, couché dans la boite à fleur. Je me suis approché, il m'a vu, a voulu se relever, a renversé la boite à fleur (et lui avec vers l'arrière), s'est relevé en tentant de sauver sa dignité et s'est mis à se laver le poil, comme si rien de tout ça ne s'était passé. Entre Corniglia et Vernazza, Cinque-Terre.
Celui-là semblait savoir où il allait sur une des rues principales de la petite ville de San-Gimignano.
Toujours à San-Gimignano, ce gris et blanc gambadait sur la bordure d'un segment de rempart, quand il a aperçu un autre chat. Immobilisé, chacun s'est regardé, puis notre gris et blanc a décidé d'éviter un affrontement en sautant en bas du rempart, et en passant à l'abri du regard de son congénère.
Confortablement installé pour la sieste dans le pot d'un olivier dans la cour de l'église San Pietro de Cortona, une petite ville sur la cime d'une montagne où j'ai vu plusieurs chats.
Celle-là a décidé de m'ignorer complètement et me tourner le dos. Arezzo.
Tentative de camouflage sur les pierres de couleur jaune orangé. Cortona.
Position relaxe et idéale pour regarder passer les touristes sur la rue en contrebas. Assise.
Autre style de camouflage, on se couche à moitié et on tente de se confondre dans sa propre ombre projetée sur le mur. Cortona.
Méfiant, mais on reste en place, en plein milieu du pavé à une petite intersection de la vieille ville de Cortona.
Le chat le plus calme rencontré pendant ce voyage: je marchait dans Cortona, en parlant avec ma compagne, et en tournant une petite rue étroite, surprise, un chat, couché le long du mur, à deux pas de moi. Je m'arrête, certain que je l'aurai effrayé, mais non, il reste là, aucune réaction à mon arrivée un peu brusque, ni à mon arrêt sur place ni à la machine suspecte que je sors et pointe vers lui. Un champion.
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