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Les 33 questions auxquelles ILS n'ont toujours pas répondu, du Professeur Christian Perronne

Publié le 26 novembre 2022 par Francisrichard @francisrichard
Les 33 questions auxquelles ILS n'ont toujours pas répondu, du Professeur Christian Perronne

Le professeur Christian Perronne a osé dire tout haut ce que beaucoup de ses confrères pensaient tout bas: il a dit la vérité, il devait être exécuté, notamment par les médias, et il l'est toujours. Je n'en veux pour preuve que la façon dont il a été traité dans L'heure des pros du 24 novembre 2022 par l'animateur et ses invités.

Certes, c'est déjà bien que Pascal Praud lui ait donné la parole, mais il a vite pris ses distances et s'est montré désobligeant, empressé de dire, p.ex., à propos de l'hydroxychloroquine, que l'éminent professeur était le seul, parmi ceux qui sont venus sur son plateau, à dire que ce médicament est efficace contre la Covid-19.

Pascal Praud a demandé pourquoi, s'il était si efficace, ce médicament n'avait pas été retenu dans le monde entier pour combattre l'épidémie - ce qui est une contrevérité puisqu'il a été utilisé en dehors de l'Occident, p.ex. en Turquie, en Inde ou au Maroc, et que de nombreux scientifiques en reconnaissent l'efficacité.

Christian Perronne incrimine l'influence des lobbys et répond que de nombreuses méta-analyses corroborent maintenant son efficacité (à l'exception remarquée toutefois de celles financées par les laboratoires pharmaceutiques, comme l'a souligné le professeur Didier Raoult dans ses émissions de l'IHU de Marseille).

D'avoir dit cela a déchaîné sur le plateau son lynchage de la part du consultant Philippe Guibert, qui s'est offusqué qu'il discrédite ceux qui ne pensent pas comme lui et a dit que cela frôlait le complotisme, terme repris par l'avocat Alain Jakubowicz et qui est l'argument de ceux qui n'en ont pas et... des incompétents.

Le professeur Christian Perronne a alors rappelé que la science, c'est d'accepter la contradiction et que tous ses contradicteurs ont refusé de débattre avec lui... Pour ce qui concerne les vaccins qui, selon la doxa médicale, empêcheraient les formes graves, il dit que c'est l'inverse et que cela ressort d'études étrangères.

Au début les malades atteints de la Covid ont été traités au Vietnam avec de l'hydroxychloroquine, en Inde avec de l'ivermectine. À partir du moment où la vaccination a été faite au Vietnam et dans certains états de l'Inde, la mortalité de faible y est devenue très forte si bien qu'elle a été purement et simplement abandonnée.

Tous les pays occidentaux sous influence des lobbys ont poursuivi la même politique mortifère. L'Afrique et l'Asie - la Chine mise à part, où la Covid a été une aubaine pour asservir la population - ont obtenu de bien meilleurs résultats. Au Brésil et aux États-Unis il faut nuancer, car des États ont mieux géré que d'autres.

Si, au début, en France, les hôpitaux ont été mis sous tension, c'est parce qu'on a interdit aux généralistes de traiter leurs patients à domicile. Sinon, il n'y aurait pas eu autant de morts, dont le nombre a d'ailleurs été gonflé parce que l'on a ajouté ceux qui étaient morts d'une autre affection, mais avaient été testés positifs...

Il y a toujours eu des effets secondaires avec les vaccins, mais, cette fois, il y a eu des pics gigantesques après leur inoculation. Les infarctus, embolies pulmonaires, cancers, myocardites seraient des coïncidences temporelles, sauf qu'il n'y en a jamais eu autant avec les vaccins classiques administrés en mêmes quantités.

Au Portugal, qui a été le premier pays où la proportion de vaccinés a été très importante, les autorités ont constaté que la mortalité des personnes de 20 à 50 ans avait augmenté de 20%. Le constat est le même maintenant dans beaucoup de pays. Il faut donc pour le moins se poser des questions sur l'innocuité de ces vaccins.

L'origine du SARS-Cov-2 n'est pas naturelle mais le résultat de manipulations par des laboratoires, comme les séquençages le montrent et comme ils l'ont avoué par le dépôt de brevets. Alain Jakubowicz est pris en flagrant délit de mauvaise foi en accusant, à tort, le professeur d'avoir dit qu'il s'agit de diffusion volontaire.  

Cette intervention sur CNews dure une vingtaine de minutes. La chaîne en continu sur son bandeau dira à son sujet, quand elle en rediffusera des extraits, que le professeur Perronne est seul contre tous, une manière de dissuader d'acquérir son livre: s'il est seul à tenir ses propos, c'est bien qu'ils ne sont pas à prendre en considération.

Ceux qui veulent voir clair sur la façon dont la crise sanitaire a été gérée en France par ses gouvernants et ses soi-disant experts, liront avec profit le livre du professeur Perronne, sanctionné par le pouvoir pour avoir fait entendre une voix discordante et réhabilité le 21 octobre 2022 par la chambre disciplinaire de l'Ordre des médecins:

Dr Perronne, spécialiste internationalement reconnu comme un expert dans le domaine de l’infectiologie était le mieux à même de comprendre les enjeux de santé publique. S’il s’est exprimé dans la presse sur l’action du gouvernement et sur l’industrie pharmaceutique ainsi qu’il était légitime à le faire et en avait même l’obligation dans ce domaine qui relevait de sa compétence, il s’est borné à porter publiquement mais sans invective une voix discordante sur un sujet d’intérêt général.

Comme il est beaucoup question, ces temps, de piqûre de rappel, ce livre peut être considéré comme un booster si l'on fait partie de ceux qui n'ont pas été dupes de l'instrumentalisation de la Covid et comme une apocalypse, au sens étymologique, si l'on fait partie de ceux qui se sont fait enfumer par les médias et les politiques.

Francis Richard

PS

Aux enfumés, je recommande particulièrement la question 25 du livre: Qui est Andrew Hill et en quoi il est un contre-exemple en ces temps de crise sanitaire? La réponse reproduit une conversation édifiante, en date du 18 janvier 2021, (à partir de la cinquième minute), entre ce chercheur de l'Université de Liverpool et conseiller à la Fondation Bill-et-Melinda-Gates et le docteur Tess Lawrie, fondatrice de l'Evidence Based Medical Consultancy.  

Les 33 questions auxquelles ILS n'ont toujours pas répondu, Professeur Christian Perronne, 180 pages, Albin Michel

Livres précédents:

Y a-t-il une erreur qu'ILS n'ont pas commise? (2020)

Décidément, ILS n'ont toujours rien compris (2021)

Le professeur Christian Perronne sur CNews dans L'heure des pros du 24 novembre 2022:


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