Parfois, le FIS agit comme une organisation tout à fait stupide. Pourquoi voler des coureurs de slalom et de géant pour un seul week-end de courses des Alpes vers la Californie ?
Il y a le coût que cela représente pour le corps des athlètes (durée de l'aller-retour plus 9 heures de décalage horaire), auquel s'ajoute le coût pour l'environnement estimé à environ 1 500 tonnes d'émissions de carbone.

Peut-être que la plupart des fédérations sportives, y compris le Comité International Olympique, pourraient grandement bénéficier d'une sortie de ce paradis fiscal emblématique ?