Je viens de lire ce livre, en format audio, et j’ai adoré. Vous trouverez dans cet article les commentaires éclairés d'un confrère blogueur et bien entendu, les miens. Tous ceux qui se sont posés des questions sur la façon, pour le moins étrange, dont a été conduite la gestion par nos gouvernants de la récente pandémie, devraient lire ce livre. Parce qu'il répondra à beaucoup de leurs questions.
En ce qui me concerne, je n’y ai pas appris beaucoup de choses que je ne connaissais déjà.
En effet, durant ces trois ans de Covid je n'ai cessé de publier sur ce site, dans une rubrique COVID-19 très fournie, la plupart des arguments développés dans ce livre.
Ce livre, c’est effectivement la version “moderne” de 1984, dans un langage très clair et avec des exemples tirés intégralement de la réalité que nous avons vécue durant ces trois pénibles années.
Quasiment tous les paragraphes du livre m'ont rappelé des articles que j’avais écrits sur ce sujet.
Je précise pour ceux qui ne me connaissent pas que j'avais déjà plus de 70 ans au début de la pandémie et que rapidement, au lieu de mourir de peur, compte tenu de ce que j’apprenais au cours mes saines lectures ainsi que de l’état excellent de mon système immunitaire à mon âge avancé (à ce jour, j'ai 76 ans et je n’ai jamais été malade, même pas de la grippe), je décidais de ne pas me faire vacciner.
De fait, je n’ai jamais été aussi en forme que durant ces trois années de Covid. Depuis cinq ans, je passe ma retraite en Andalousie et comme « l'urbanización (ensemble de lotissements) » où je réside compte plus de 100 000 m² d’espaces arborés et vallonnés, j'ai pu me livrer chaque jour, et parfois deux fois par jour, à mon exercice préféré : la marche rapide. J'ajoute que je ne sais même pas ce que c’est qu’un test PCR car, moi qui voyageais beaucoup, j'avais décidé de ne pas prendre l’avion tant que la crise sanitaire sévissait. Et, comme je n'ai jamais eu la Covid, je n'ai jamais dû me faire tester. Enfin, je précise que la gestion de cette crise a été beaucoup plus « démocratique » en Andalousie qu'en France. Le pass sanitaire, par exemple, a duré seulement deux mois et n'a été respecté que par les hôtels et pas par les bars et restaurants que je fréquentais.
Concernant les voyages par avion, les prix des vols long courrier ont tellement augmenté (50 % au moins, si l'on n'oublie pas de considérer l'augmentation des tarifs des bagages) que j'envisage sérieusement d'abandonner ce moyen de transport. Étant célibataire et disposant d'une retraite correcte, je pourrais me le permettre, mais je déteste que les commerçants me prennent pour un imbécile. Par exemple, me proposer un billet à un prix très attractif, mais assorti d'un tarif exorbitant (parfois supérieur au prix du billet) pour les bagages. À moins de voyager avec un jean, un t-shirt et une brosse à dent. Ce qui est concevable à 20 ans, mais pas à 76 ans.
Pour revenir à la gestion de cette crise sanitaire, je pense moi aussi que tous ceux qui ont peiné à comprendre les incroyables contorsions du Président et de son gouvernement durant la totalité de cette crise gagneraient beaucoup à lire ce livre. Ils ne manqueraient pas de comprendre à quel point ils ont été manipulés.
Et, surtout que ce type de manipulation des masses ne date pas d'aujourd'hui : la charte de Biderman a été rédigée en 1958. Il y a donc 65 ans !
Non ! Le président et son gouvernement n’ont pas fait n’importe quoi ! La similitude, pour le moins troublante, entre la charte de Biderman, largement exposée dans ce livre, et ce que nous avons tous vécu, ne devrait pas manquer de les faire intensément réfléchir.
Quant à ceux qui ne manqueront pas de qualifier Laurent Gounelle de « complotiste », il est inutile de chercher à leur faire comprendre quoi que ce soit. Les salopards, comme les idiots, n’ont jamais de remords. C’est même à cela qu’on les reconnait.
Pour conclure, mon confrère blogueur, n'a pas évoqué dans sa vidéo la fin du livre. Certainement pour ne pas divulgâcher le plaisir des futurs lecteurs. Pourtant, il me semble qu’il conviendrait tout de même de dévoiler que pour l'ingénieur du livre qui a très longtemps cru tout ce qu’on lui demandait de croire, la fin est terrible et sans espoir.
Lire, c'est bien, se réveiller, c’est mieux. Mais, se réveiller trop tard, dans le monde atterrant dans lequel nous vivons désormais, cela ne servira à rien.
Il existe maintenant des scientifiques qui s’affichent délibérément comme « atterrés.» Après la lecture de ce magnifique livre, j'ai le sentiment que beaucoup de ses lecteurs n’hésiteront pas à s'afficher eux aussi, comme des lecteurs « atterrés.»
Et, ce qui serait encore mieux, à réagir en conséquence.
Avant qu'il ne soit trop tard, pour nous tous également ?
N.B
En fouinant sut Internet, j'ai découvert sur Youtube une chaîne qui publie, gratuitement, des livres audio. Dont plusieurs livres de Laurent Gounelle. Le Réveil n'est pas dans le catalogue. Trop perturbant, sans doute car la collection regroupe plutôt des livres plutôt de type « feel good » et de developpement personnel. Néanmoins, je vous conseille «Intuito », que je viens de lire, et « L'homme qui voulait être heureux », que je suis en train de lire et qui est passionnant.
Je vous invite à regarder cette excellente vidéo, d'un excellent confrère, sur ce livre inoubliable.