Je déteste les gens qui ont l’instinct de démolition.
Il faut tellement de temps pour imaginer, concevoir et construire que tout acte de destruction me fait grincer des dents. Un gaspillage inutile.
Construire, pour l'essentiel, est ce qui nous distingue des animaux, et pourtant, il est si facile de vandaliser, d'endommager ou de détruire le travail des autres que cela me décourage tant cela va à l'encontre de tout acte positif. Poutine est le parfait exemple de ce genre d’individus.
J'imagine que certaines de ces personnes destructrices pourraient réagir à diverses formes de peur (l'inconnu, l'humiliation ou l'impuissance), mais parfois, leurs actions semblent calculées, voire instinctives et même joyeuses.Ceci, bien sûr, révèle les problèmes rencontrés par ces « casseurs ». Les plus évidents sont les d’ordre mental, car ils peuvent être liés avec des problèmes émotionnels intenses, de la frustration ou de la colère qui déclenchent un comportement destructeur comme moyen de faire face aux événements ou d'afficher leurs vrais sentiments.
Il y a bien sûr ceux ont une espece de mission, tenant d’idéologies ou de convictions extrémistes, qui justifient ou encouragent la destruction pour atteindre des objectifs fanatiques, que ceux-ci soient politiques ou religieux.
Certains aussi peuvent être victimes de conditions socio-économiques, telles que la pauvreté, la marginalisation ou le manque d'opportunités, alimentant frustration et ressentiment liés à des actes destructeurs.
Enfin, l'influence des pairs se cache toujours dans les recoins de groupes, où les comportements destructeurs sont considérés comme acceptables ou parfois même encouragés.
Il peut y avoir d'autres raisons en jeu, c'est pourquoi comprendre la complexité du comportement humain n'est pas facile et nécessite souvent une analyse au cas par cas pour vraiment comprendre le pourquoi de certaines actions destructrices.