John Lennon a expliqué pourquoi « I Am the Walrus » des Beatles était l’une de ses chansons préférées

Le livre Lennon on Lennon : Conversations With John Lennon contient le texte d'une interview radio de 1974. " Et maintenant, nous allons jouer un morceau de Magical Mystery Tour, qui est l'un de mes albums préférés parce qu'il était si étrange, et c'est 'I Am the Walrus' ", a-t-il dit.

Il a également expliqué pourquoi il aimait tant " I Am the Walrus ". " C'est aussi l'un de mes morceaux préférés parce que je l'ai fait, bien sûr ! " a-t-il ajouté. " Mais aussi parce que c'est l'un de ceux qui ont suffisamment de petits éléments pour rester intéressant même cent ans plus tard. Et ceci est pour les fans d'ELO. "

John a estimé que " I Am the Walrus " avait inspiré la musique d'ELO, en particulier le single du groupe " Showdown ". Notamment, Jeff Lynne d'ELO rejoindrait plus tard un groupe avec George - les Traveling Wilburys - et il a produit deux chansons des Beatles : " Free as a Bird " et " Real Love ".

Dans le livre All We Are Saying : The Last Major Interview with John Lennon and Yoko Ono, une interview de 1980 est présentée. Dedans, il a rappelé l'origine de " I Am the Walrus ". Il a dit que la première ligne de la chanson avait été inspirée par un trip sous acide, la deuxième ligne par un trip qu'il avait pris une semaine plus tard, et le reste de la chanson s'est assemblé après avoir rencontré Yoko Ono pour la première fois.

John a révélé que les paroles de la chanson critiquant le mouvement Hare Krishna étaient une critique de cette dénomination. Il était contrarié car il avait remarqué que le poète Allen Ginsberg était tombé sous le charme du mouvement. À son avis, il était naïf de mettre toute sa " foi en un seul idole ". Pour contexte, le mouvement Hare Krishna pratique effectivement le culte des idoles.

Dans Lennon on Lennon, John a discuté du contexte qui a produit " I Am the Walrus ". " Quelque chose nous a influencés... tout ce qui était dans l'air pour le faire, vous savez, et essayer de déterminer qui a fait quoi en premier, vous savez, ça ne fonctionne pas vraiment ", a-t-il dit.

" Nous faisions partie de tout ce qu'était les années 60, et nous étions comme ceux qui avaient été choisis pour représenter tout ce qui se passait dans la rue. Ça se passait de lui-même, vous savez ", a-t-il ajouté. " Ça aurait pu être quelqu'un d'autre, mais ce n'était pas le cas. C'était nous et les Stones et des gens comme ça. Et nous avons tous vécu cela ensemble. "