Cette fois-ci, c’est Laurent, du Feu à la Cave, qui s’y colle. Avec un thème auquel il croit beaucoup: j’étais aux commandes des VdV depuis quelques jours à peine qu’il avait déjà levé le doigt virtuel pour demander s’il pouvait présider un Vendredi. Il est fait pour, au fond, puisque son blogue s’appelle les Vendredis de Bacchus, et que c’est là qu’il vous invite à aller voir ce qui se trame loin des commissions d’agrément et des AOC.
Le thème, en quatre mots comme en mille: les vins de table. Une vaste catégorie où se cachent des vins auxquels on craindrait de donner le nom de piquette (de peur d’insulter la piquette), mais aussi des vins fantastiques, créés hors des règles des appellations contrôlées ou qui ont été refusés par des commissions d’agrément, ces tables de vignerons qui jugent du travail de leur pair selon des critères qui m’échappent parfois. Regardez par exemple les mésaventures de Jean-Paul Brun, excellent vigneron du Beaujolais, dont les vins se sont récemment vus refuser l’agrément par ses pairs, qui laissent passer bien des lavasses aux levures artificiellement inséminées.
M’enfin. Vous en trouverez en France, en Italie, en Espagne… Et rappellez-vous par exemple que les Super Toscans ont fait leurs débuts en tant que vins de table. Ce qui n’est pas si modeste que ça, comme vin de table.
La marche à suivre:
Nous vous espérons donc en grand nombre, avec la réponse à une question prenante: les vins de table sont-ils plus boisés que les autres?
Bon bon, trève de rigolade, je descend à la cave, voir s’il y a le feu. Et du vin de table.
Bonne dégustation,