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Braquage à l’anglaise : un bon divertissement

Par Mahee
508722532.jpg Quand des voyous de bas étage, habitués aux vols de voitures et autres petites magouilles, s’attaquent à la prestigieuse banque Lloyds de Londres, la situation peut vite devenir incontrôlable.
Note : 1997579260.3.gif 1997579260.3.gif 1997579260.3.gif 1643352736.4.gif1839803314.2.gif

C’est le cas lorsque des grands bandits et hommes politiques puissants, qui ont déposé des documents compromettants dans leurs coffres, se mettent en quête de les récupérer.
Voilà un bon film de braquage dans la plus pure lignée des années 70. Bien loin des prouesses technologiques et des guest-stars de la saga
Ocean de Steven Soderbergh. Ici, tout est plus humain, plus proche, plus réel. Le film est d’ailleurs inspiré d'une histoire vraie, l’audacieux « cambriolage au talkie-walkie » de 1971.
La mise en scène de Roger Donaldson est plaisante et nerveuse. Il faut dire que le réalisateur néo-zélandais est habitué aux films d'action et aux thrillers (Le Pic de Dante, La Mutante, La Recrue ou encore Guet-apens). La photographie, vintage, colle parfaitement au film. Quant au scénario, il est pertinent et bien ficelé.
Enfin, si les acteurs sont moins connus que George Clooney et sa bande, ils n’en sont pas moins convaincants. Surtout le beau Jason Statham (qui joue très différemment que dans Le Transporteur) et l’envoûtante Saffron Burrows.
On peut cependant regretter un peu de punch dans certaines séquences. Mais de manière générale, Braquage à l’anglaise s’avère un bon divertissement.

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