« Ton âme s'élève et sent en ce moment la protection que Dieu jette sur toi.»
« Avec moi, que ton courage augmente et, patriote sincère, aime et désire être utile à cette France si chère, que, d'en haut, en Protectrice, en Mère, je considère toujours avec bonheur.»
« Ne sens-tu pas, en toi, naître des pensées de douce indulgence ? Près de Dieu, j'ai appris à pardonner, mais ces pensées, toutefois, ne doivent point en moi faire naître la faiblesse, et, don divin, je trouve en mon coeur assez de force, pour chercher à éclairer parfois ceux qui, par orgueil, veulent accaparer mon souvenir.»
« Et quand, par indulgence, j'appelle sur eux les lumières du Créateur, du Père, je sens que Dieu me dit : « Protège, inspire, mais ne fusionne jamais avec tes bourreaux. Les prêtres, en rappelant ton dévouement à la patrie, ne doivent demander que le pardon pour ceux dont ils ont pris la succession. »
« Chrétienne pieuse et sincère sur la terre, je sens dans l'espace les mêmes élans, le même désir de prière, mais je veux que mon souvenir soit libre et détaché de tout calcul ; je ne donne mon coeur, en souvenir, qu'à ceux qui ne voient en moi que l'humble et pieuse fille de Dieu, aimant tous ceux qui vivent sur cette terre de France, auxquels je cherche à inspirer des sentiments d'amour, de droiture et d'énergie. »