Norbert, c’est mon coiffeur. Et Norbert, il déchire.

Ah citoyens !

Il est des petites attentions qui changent la vie. Un boulanger sympa, une bonne table, le postier qui te déchire pas ton courrier…
Et puis aujourd’hui, j’ai rencontré Norbert. Ou plutôt Norb’Hair. Norbert, c’est le gérant du Franck Provost boulevard Sébastopol. Et Norbert, il a une super équipe qu’il adore et qui le lui rend bien. Qui va lui chercher son panini “viande hachée comme-à-la -pizzéria”. En échange de quoi, Norbert distribue des billets de cinq euros.

Il t’offre le café et une petite gourmandise après que son assistante t’ait fait un massage du cuir chevelu.

Il s’intéresse à ce que tu fais. Pas parce que c’est dans un code pour avoir de la promo, non. Parce qu’il a envie d’animer un quartier, de fédérer autour du moment qu’il t’offre.

Et ça tombe bien, on a parlé coiffure et relations publiques. Et il m’a donné une invitation pour le premier anniversaire de son salon. C’est le 4 octobre, et il y aura même une expo de peinture. Parce qu’un coiffeur, ça peut aussi en avoir sur et dans la tête. Et comme je serai en Grèce, et bien j’ai envie de te l’offrir, cher lecteur. Pour que tu parles art et ciseaux avec Norbert.