Madonna et le cinéma, ça ressemble à une histoire d'amour impossible. C'est surtout l'un des domaines dans lequel elle n'a pas encore convaincu. En tant qu'actrice, la star pop doit se mordre les doigts d'avoir loupé des occasions en or (des rôles intéressants dans Boxing Helena, de Jennifer Chambers Lynch et L'échelle de Jacob, d'Adrian Lyne). Par dépit, elle a laissé ses velléités d'actrice au vestiaire pour passer derrière la caméra. Obscénité et vertu, son premier long métrage, stimule la curiosité et ressemble en l'état à un petit film indépendant comme on en produit des tonnes. Il exalte des valeurs humanistes qui lui sont chères et rappelle à contre-courant des modes les plus cyniques que les plus belles histoires - où "les stars font les rêves et les rêves font les stars" pour emprunter la maxime de David Lynch dans INLAND EMPIRE - peuvent avoir lieu, ailleurs qu'à Hollywood (l'action se déroule à Londres). Un concentré pop léger comme une plume qui renseigne sur les humeurs créatrices de la Madonne.
Magazine Cinéma
article de www.dvdrama.com :
Madonna et le cinéma, ça ressemble à une histoire d'amour impossible. C'est surtout l'un des domaines dans lequel elle n'a pas encore convaincu. En tant qu'actrice, la star pop doit se mordre les doigts d'avoir loupé des occasions en or (des rôles intéressants dans Boxing Helena, de Jennifer Chambers Lynch et L'échelle de Jacob, d'Adrian Lyne). Par dépit, elle a laissé ses velléités d'actrice au vestiaire pour passer derrière la caméra. Obscénité et vertu, son premier long métrage, stimule la curiosité et ressemble en l'état à un petit film indépendant comme on en produit des tonnes. Il exalte des valeurs humanistes qui lui sont chères et rappelle à contre-courant des modes les plus cyniques que les plus belles histoires - où "les stars font les rêves et les rêves font les stars" pour emprunter la maxime de David Lynch dans INLAND EMPIRE - peuvent avoir lieu, ailleurs qu'à Hollywood (l'action se déroule à Londres). Un concentré pop léger comme une plume qui renseigne sur les humeurs créatrices de la Madonne.
AK, Ukrainien charismatique, partage à Londres un appartement avec Holly et Juliette. Chacun d'entre eux poursuit un rêve bien précis qui n'a pas grand-chose à voir avec leur quotidien.
Madonna et le cinéma, ça ressemble à une histoire d'amour impossible. C'est surtout l'un des domaines dans lequel elle n'a pas encore convaincu. En tant qu'actrice, la star pop doit se mordre les doigts d'avoir loupé des occasions en or (des rôles intéressants dans Boxing Helena, de Jennifer Chambers Lynch et L'échelle de Jacob, d'Adrian Lyne). Par dépit, elle a laissé ses velléités d'actrice au vestiaire pour passer derrière la caméra. Obscénité et vertu, son premier long métrage, stimule la curiosité et ressemble en l'état à un petit film indépendant comme on en produit des tonnes. Il exalte des valeurs humanistes qui lui sont chères et rappelle à contre-courant des modes les plus cyniques que les plus belles histoires - où "les stars font les rêves et les rêves font les stars" pour emprunter la maxime de David Lynch dans INLAND EMPIRE - peuvent avoir lieu, ailleurs qu'à Hollywood (l'action se déroule à Londres). Un concentré pop léger comme une plume qui renseigne sur les humeurs créatrices de la Madonne.