
Résumé : Après l’échec de son histoire avec Yasmine, Tiana se lance dans l’écriture d’une romance lesbienne, bien qu’elle publie habituellement de la Fantasy. Convaincue qu’Alicia, son éditrice, l’adorera autant
qu’elle, c’est la douche froide lorsqu’Alicia lui annonce que ce roman n’a pas sa place dans le catalogue des Éditions Martin. Déçue, Tiana s’interroge: pourquoi Alicia, pour laquelle elle a des
sentiments, refuse-t-elle vraiment ce manuscrit ? Quant à Alicia, surmontera-t-elle ce que la raison lui dicte pour les beaux yeux de son autrice préférée? La situation semble bloquée jusqu’à ce qu’un concours de circonstances réunisse les deux jeunes femmes lors d’un atelier d’écriture aux méthodes pour le moins… extravagantes.
Et si la réalité rattrapait la fiction ?
Avis : Tiana est autrice, elle est publiée par Alicia aux Editions Martin, pour une fantasy qui cartonne. Mais un jour, suite à sa rupture avec sa copine, elle décide d’écrire une romance lesbienne et elle est persuadée qu’Alicia va immédiatement vouloir la publier. Mais voilà, Alicia refuse et c’est la douche froide. Elles vont alors se disputer sans cesse, mais vont participer toutes les deux à un genre d’atelier écriture. Elles vont se retrouver alors dans de drôles de situation qui vont renouer le lien qui s’est défait entre elles.
J’ai commencé en trouvant l’écriture sympathique, j’ai fini en étant écœurée par l’histoire. Ca ne m’a pas vraiment plu, c’est une assez grosse déception car je m’attendais à un truc super. Et patatra, ça ne l’a pas fait avec moi. Une romance lesbienne, je prends, mais les deux femmes m’ont paru insupportables, par moment on aurait dit deux gamines de douze ans qui faisaient leur caca nerveux. Elles vont se rapprocher malgré elles, mais je n’ai rien ressentis du long. La romance ne m’a pas fait vibrer du tout. J’ai trouvé qu’il y avait des bonnes idées, un peu de fake dating, un épisode avec des menottes, des tensions entre les deux personnages féminins. Sauf que ben je suis restée à côté de l’histoire tout du long, j’ai souvent soupiré. J’aurais voulu que le tout soit un peu plus approfondi, notamment sur le fonctionnement de la maison d’édition. J’ai trouvé le père d’Alicia assez bête et pas du tout professionnel, et Alicia, pour une éditrice, m’a paru un peu naïve. Quant à Tania, elle est particulière, elle a la tête pleine de rêves et je trouvais ça bien mais encore une fois, pas suffisamment exploitée.
On alterne les points de vue et malheureusement pour moi, je n’étais pas assez dans l’histoire et des fois je m’emmêlais les pinceaux sur qui était en train de nous raconter l’histoire. La fin est trop rapide, trop facile, j’ai eu l’impression que tout se réglait en trois secondes, alors qu’on nous avais difficilement trainé tout le long du livre jusque là.
Après ce n’était pas mauvais, comme je l’ai dis il y a de bonnes idées, des réflexions sympathiques, ça aurait pu être marrant, je n’ai juste pas du tout accroché, ça arrive.
éé
