C'est le titre d'un candide film de Franco Zeffirelli de 1999 mettant en vedette Cher, Judi Dench, Joan Plowright, Maggie Smith et Lily Tomlin. Ça raconte l'histoire de 5 femmes d'un certain âge, à Florence, en 1935, qui se réunissent pour prendre le thé ponctuellement et radoter sur tout. Pour se donner une raison d'exister. Elle s'appellent entre elles Scorpioni. Les films qui placent leurs histoires en marge des évènements graves de nos sociétés, quand ils le font habilement, relèvent du grand art. Le film de Zeffirelli est loin d'être parfait. Et l'arc narratif devient forcément dramatique alors que l'Italie de Benito Mussolini se transforme près d'elles. Le venin des scorpionnes est testé. Mais le film, dans l'oeuvre du réalisateur italien autant que dans l'histoire du cinéma, relève de l'anecdote.
Chaque semaine est plus dégueulasse que la précédente aux États-Unis. Qui a le culot de parler d'elle comme de "l'Amérique". Fuck you bitch ! t'en est une artère des trois territoires.Et désormais, le ver dans le fruit.
Aussi vrai qu'Elvis est vivant. C'est à 90% qu'on refuse de mourir. Et c'est déjà pas assez.
Le Canada rejette l'idée de mourir. Est-ce si anormal ? Pendant que tout l'attention est ailleurs, Israël, les États-Unis donc, effacent criminellement la Palestine. Qui est assez con pour penser que les Canadiens voudraient être leur Palestine ? Leur Ukraine ?


Les images tirées de cette terrible opération de mise en scène peuvent se confondre avec celles des Juifs de la Seconde Grande Guerre*, en attente d'un terrible sort, humiliés par les Nazis dans les camps de concentration. C'est une période de réelle infamie que peu croyait un jour vivre en direct dans laquelle l'Amérique du Nord est plongée actuellement. Et ne voilà que 2 mois que les criminels règnent.

"Teachers are the enemy" a criminellement dit l'avorton mental J.D.Vance au micro. Non pas sans vouloir à son tour nous enseigner quelque chose. Et sans être assez intelligent pour s'apercevoir de sa propre absurdité.
Ce qui se trame autour de nous est tout simplement catastrophique en ce moment. Nous vivons une ère plus que noire. Quand Israël a violé le cessez-le-feu cette semaine, il a tué plus de 400 personnes. Des centaines de familles et d'enfants. Et PARTOUT dans le monde on a présenté ce crime comme "une frappe contre le Hamas".

Non.
Non.
Non!

La blonde porte-parole de la Maison (trop)Blanche, qu'on appelle aussi très justement Miss Information, a continué l'ABC du fascisme en disant que les juges (qui les freinent) sont des usurpateurs. Quoi de plus inconvénient que la loi pour des criminels, n'est-ce pas ?
L'arrogance de ces rats est inimaginable au pouvoir en Amérique. Du jamais vu. C'est horrifiant. L'unique loi qu'ils clament bonne serait la leur.
Le fascisme se développe sous nos yeux.
C'est pourtant du déjà vu.

C'est le vrai déclin de l'empire Étatsunien.
Les États-Unis seront sa 7e faillite.

J'aurais préféré que le film "Cet homme la présidence" relève de l'anecdote. Mais non. C'est un film d'horreur, de type snuff movie.
Zeffirelli a aussi adapté au cinéma la brillante pièce de William Shakespeare, Hamlet.

L'histoire qui a fait naître l'expression "Il y a quelque chose de pourri au royaume du Denmark".
Aux royaume des États-Désunis, on ne cherche plus qui.
Mais y a du vrai pourri. Ponctuellement dans nos tivi.
*Je ne vous ai placé ici aucune photos des Juifs de 1945 en route vers la mort. Juste les Venézueliens. Je suis certain que vous êtes confondus aussi.
