Journaliste: "Why did you do it?"Bill Clinton: "Because I Could".
C'est l'échange confessionnel qu'avait eu le président Clinton quand il a été forcé d'admettre que les lèvres de Monica Lewinsky avait bien enrobé sa Schweitzer. Parce que le pouvoir grise pouvait alors aussi être une traduction libre.
Vous remarquez que les gens qui escaladent les montagnes, défient les mers, s'organisent des safaris sont souvent des gens qui ont tellement tout, finances inclus, qu'ils/elles ont besoin d'un défi hors du commun.

Bezos ou Musk en sont tous deux des exemples criants. Ils veulent tous deux conquérir l'espace.
Bill Clinton avait tenté de contrôler le narratif quand on l'avait accusé d'avoir triché avec sa femme. "I did not sleep with that women, Monica Lewinsky" avait alors-t-il, le doigt du sermonneur à la caméra. Et une autre fois, répondant aux même accusations, avec un Yasser Arafat ahuri à ses côtés qui souriait toutes dents, peut-être s'imaginant prochain client. Bill ne mentait pas complètement. Il n'avait peut-être pas "couché" avec Monica, mais son pantalon était tombé vis-à vis sa tête à elle. Et je n'ai pas besoin de vous faire un dessin pour la suite. Il avait nié une tricherie amoureuse, et on l'avait mis sous enquête pour destitution pour avoir menti sur le sujet au Congrès.

Ce crétin de président, le pire de l'histoire des États-Unis, a aussi tenté de contrôle la manière dont on parle de la liste de clients de Jeffrey Epstein sur laquelle il est la tête d'affiche. TOUT LE MONDE sur terre, incluant les membres de son propre gouvernement veut voir cette liste de clients publiée et publique, même la super cruche Pam Bondi a dit plusieurs fois qu'elle voulait que lumière soit faite, que la liste serait publique, que tout le monde paierait pour ces plus-de-250-jeunes-victimes, avant de dire, lundi dernier, que cette liste, sur son bureau, finalement n'existe pas.

Tu ne contrôlera jamais ce narratif vieille peau de sanglier perverse. Tu sera éternellement ce violeur d'à peu près tout, de la constitution aux Femmes qui te domineront toujours, et ce, jusqu'à ton dernier souffle. Tu es la lie de la lie.
Parlant de fond du baril, le procès d'une autre araignée, Gilbert Rozon, vous l'avez suivi ?


...ce qui avait fait rire tout le monde bien entendu. Mais pas sa prétendante habituelle. Rozon a servi cette même histoire en cour. Je ne voulais pas d'elle mais elle s'est agressivement assise sur mon sexe et "s'est fait l'amour" sur moi." a -t-il dit. Il avait une explication différente pour chaque victime présumée.

J'ai été témoin d'un boomer, il y a quelques années, qui tentait au téléphone de sermonner le fournisseur d'internet en se plaignant très fort "Faudra-t-il que je surveilles ma consommation de l'internet comme je surveilles l'essence de ma voiture ? ".
J'étais derrière et me disait que la réponse courte était...oui

La vérité étant qu'un second acquittement, découragerait oui, les victimes de dénoncer. Et rien d'autre.
Mais Gilbert est trop absorbé par sa propre bulle.
De savon.
Le pouvoir quand ça vire bien, ça devient Bill Gates ou Dolly Parton.
Mais parfois aussi, ça donne des ailes qui font foncer sur le soleil.
"La lumière attire" a-t-il dit en parlant de lui-même. Tu n'es pas le soleil, Gilbert, tu es celui qui s'y est brûlé. Citant Fatal Atraction et Le Bossu de Notre-Dame parce que ton univers mental verse facilement dans la fiction. Tu es fumée de tricheur.

Il a confessé avoir couché avec plus de 250 femmes dans sa vie (pourquoi se vanter d'une tel compte?).
Il a aussi dit qu'il avait payé pour une, dans le premier procès, mais qu'il aurai pu payer pour bien d'autres dans une émission de télé.
Que le monde réel te goudronne les ailes.
