
Résumé : Kiki rêve parfois d’une vie normale, seulement voilà, la jeune fille est loin d’être une adolescente comme les autres !
Elle a maintenant 13 ans et, comme l’ont fait toutes les sorcières, elle doit partir à l’aventure ! À la fois excitée et nerveuse, Kiki enfourche son balai et met le cap loin vers la mer. Mais débarquée dans la ville de Koriko, elle se rend compte que les sorcières ne sont pas les bienvenues partout…
Avec pour alliés son meilleur ami, Jiji, un chat impertinent, et Osono, une boulangère au cœur d’or, Kiki devra redoubler d’efforts pour s’intégrer et lancer son commerce : un service de livraison unique en son genre…
Avis : Kiki a treize ans, c’est le moment pour elle de trouver une ville où vivre et proposer ses services à l’aide de sa magie. C’est ainsi que ça se passe pour les sorcières. Quittant ses parents, Kiki, accompagnée de son chat Jiji, part vers la mer et va découvrir la ville de Koriko. Elle va devoir s’y faire sa place même si les débuts son difficiles.
J’ai trouvé le début un peu long à se mettre en place, je trouvais ça plutôt plan-plan et finalement j’ai doucement réussi à rentrer dans l’histoire et à suivre les aventures de Kiki, car à chaque chapitre l’attend une histoire différente. Kiki se fait des amis, Osono la boulangère, Tombo le garçon fan de vol ou encore Mimi la jeune fille amoureuse. Elle va rencontrer des gens haut en couleur et avoir des missions parfois compliqué, mais avec son ingéniosité, Kiki va réussir des exploits.
C’était mignon, j’ai un peu levé les yeux au ciel pour les remarques sexistes mais comme le livre date de 1985 j’ai laissé couler. Kiki est astucieuse, Jiji un peu casse-pied par moment mais attachant, c’était parfois drôle, parfois touchant, et j’ai aimé comme Kiki arrive petit à petit à se faire accepter comme sorcière dans cette ville qui ne l’a pas bien accueilli. Un livre sympa. Je ne sais pas si je lirai la suite, peut-être un jour si j’ai l’occasion de me la procurer, sinon tant pis. Je pense que ce tome peut très bien se suffire à lui-même.
Phrase post-itée :
« Les hommes ordinaires ont une fâcheuse tendance à étiqueter comme méchant ce qu’ils ne comprennent pas… »
