
En 2005, j’avais pleinement mis les pieds dans la musique électronique mais n’avais pas encore découvert un ouvrage qui allait, justement, être publié cette année-là (1001 Albums You Must Hear Before You Die).
L’influence des chaînes musicales étaient aux oubliettes, mais je m’ouvrais à de nouveaux artistes grâce à des découvertes à la Médiathèque dont la CDthèque était (et est toujours ?) assez impressionnante. Et, parmi les artistes découverts ainsi, il y eu notamment Goldfrapp et Depeche Mode, chacun des deux groupes anglais ayant justement sorti un nouvel album en cette année-là, respectivement Supernature et Playing The Angels – mais j’avais alors écouté les trois albums de Goldfrapp et tous ceux de Depeche Mode couvrant la période allant de Black Celebration à Exciter. Deux groupes, deux claques !
La même année, j’écoutais le double album In Your Honor des Foo Fighters, Push The Button des Chemical Brothers et, le plus gros succès assurément de l’année parmi les artistes que je citerai, Damon, pardon… Demon Days de Gorillaz.
Même si je les avais officiellement découvert dès leur premier album, je ne me pencherai sur un album des White Stripes que bien plus tard, avec Get Behind Me Satan.
Puis, mais après leur sortie en 2005, je découvrirais Arular, le premier album de M.I.A. – dont la chanson « Paper Planes » dans Slumdog Millionaire de Danny Boyle reste cultissime presque 20 ans plus tard – et, surtout, I Am A Bird Now de Antony And The Johnsons* dont j’entendais la voix pour la toute première fois grâce à son duo avec Björk en 2007 sur l’album Volta de l’Islandaise (*Antony se fait désormais appeler Anohni).
Une année riche et variée, dans les styles, les voix, les origines, et surtout quelques artistes qui comptent désormais parmi mes fétiches.
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(in Heepro Music, le 01/08/2025)
