C'était présenté comme un "don inconditionnel" de la part du Qatar.Non.
C'était Donald qui voulait cet avion depuis longtemps. Il le trouvait chic. Et "il" l'a payé 400 millions. Ça a été révélé cette semaine. C'était tenu secret. Et ce qui a aussi été révélé, et c'est un peu le même réveil que les Étatsunien auront ce samedi matin, c'est que la facture de l'entretien qu'il faudra y faire pour qu'il soit sécuritairement prêt pour voler, touche le milliard. Depuis ce matin tout est devenu soudainement hors de prix. Les plus aveugles diront encore, merci, Donny pour l'économie. Les mesures d'extorsion ont commencé à sévir hier et les États-Unis sont cliniquement morts pour une grande partie de la planète terre.

Il ne fait AUCUN doute que le président voudra ce caprice aérien pour ses propres envies. Et il ne fait aussi aucun doute que la facture sera aussi refilée au peuple. À qui on propose sur le net, des "dons" afin d'éponger la dette, toujours plus lourde depuis ce président bourde.

Et ça pense qu'on les envie, les États-Unis ? Les oeillères sont de plus en plus grandes sur certain(e)s là-bas. Ça scie les jambes.

Une vieille coquille dangereuse.
Comme celui qui s'y déplacerait dedans.
Le modèle a 40 ans. Plusieurs des morceaux pour le rafistoler ne sont plus en production. Ça rend la "mise au point" beaucoup plus coûteuse si on doit trouver des équivalents. Et peut-être aussi moins sécuritaire si on improvise des remèdes à avion malade.

Les transexuel(le)s sont 1% de la population. Les Musulmans, aux États-Unis, 1% de la population. Les sans papiers aux États-Unis, 1%.
On est pas concentré sur le bon 1%.
Le 1% ennemi est même celui qui, parfois, on envie.

Quel monde maudit.
Maudit par la bêtise humaine.
Véritable gangrène.
Jamais je n'approcherais une bouée à regarder ce pays se noyer.
Ils ont ce qu'ils méritent.
Lisez les étiquettes. Même si parfois c'est écrit petit. Il y a peut-être un manche à balai prêt à entrer là où le soleil ne brille jamais.
Les fenêtres ne sont pas des portes.
