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If we were villains, M.L. Rio

Par Maliae
were villains, M.L.

Résumé : Oliver Marks vient de purger une peine de dix ans de prison pour le meurtre d’un de ses meilleurs amis… un meurtre qu’il n’a peut-être pas commis. Le jour de sa libération, il retrouve le policier qui l’a fait condamner. Le commissaire Colborne prend sa retraite ; mais il veut savoir ce qui s’est réellement passé, dix ans plus tôt.
A l’époque, Oliver poursuit ses études pour devenir comédien dans un conservatoire très réputé. Il remarque bientôt que ses talentueux camarades, avec qui il étudie Shakespeare, semblent jouer le même rôle sur scène et dans la vie : le méchant, le héros, le tyran, la femme fatale… tandis qu’Oliver, lui, a l’impression d’être toujours coincé dans un rôle secondaire. Mais le théâtre menace d’envahir pour de bon la réalité lorsque les rôles s’inversent et que les relations se pervertissent…
jusqu’au jour où l’un des sept amis est retrouvé mort. Les autres se trouvent alors face au plus grand défi de leur vie d’acteur : ils vont devoir convaincre la police – et eux-mêmes – qu’ils n’ont rien à se reprocher…

Avis : Abandon page 195. Sans doute au passage le plus intéressant, mais pas moyen de retourner dans le livre, alors j’ai dis tant pis, je suis allée me spoiler la fin, et j’en resterai là. Cette histoire c’est celle d’Oliver, en prison pour le meurtre d’un de ses meilleurs amis, mais l’a-t-il vraiment fait ? C’est en retournant dans le passé que l’on va essayer de comprendre ce qu’il s’est passé.

Au début de ma lecture tout se déroulait bien, il y avait du mystère, de l’amitié, des punch line sympa, une cohésion de groupe, et puis tout a dégringolé. Ca aurait pu être bien si on n’avait pas eu le droit aux coucheries de ceci et cela. Je sais pas, ça a commencé doucement à me gonfler sans que je sache bien à quel moment et puis la lecture est devenue une vraie corvée. Je ne lis pas pour me faire du mal alors j’ai préféré lâcher l’affaire. Pourtant c’était bien écrit, y avait quelque chose d’original, j’aimais bien le personnage d’Oliver. Mais ce n’était pas suffisant, il me fallait plus, autre chose, je ne sais pas quoi.

D’après les spoilers que j’ai trouvé, j’avais raison sur une chose qui m’a paru évidente assez vite. Et ça aurait pu être intéressant à lire mais tant pis.


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