![importations détruisent tissu industriel textile argentin [Actu]](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIBRKlDrPHrmxO_rhlQfx4k6kLxHgAT9wumeinKoeoJmV6mhs1gSlLs359GEWymTXjzvCV_HUq1s0ZNp7OAHq1tWu_G-sB1h3ptUYHheStjbmi92sWeXf51yjDK80bBNxieevM149F-RF6AF8byOoMUlvZ9fRR4RczqZJUfHZLSNjtS1ShfzOIDfuG_xY/w313-h400/Tapa%20Rosario.12,%2010.12.25.jpg)
"Plus personne ne coupe le tissu", dit le gros titre
Comprenez "Il n'y a plus de pain sur la planche"
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Le gouvernement de Javier Mileí, sous prétexte de liberté d’entreprendre et au nom du principe « que le meilleur gagne », a ouvert tout grand les frontières de l’Argentine pour laisser entrer toutes sortes de produits industriels, dont beaucoup viennent, directement ou indirectement de Chine.
Le résultat ne se fait pas attendre : l’industrie argentine s’effondre puisqu’elle produit à des coûts plus élevés, dus à la protection, désormais toute relative, des travailleurs. Bref, le schéma que l’Europe a connu et pratiqué, ce dont tous nos pays se mordent les doigts vingt à trente ans plus tard, s’applique maintenant à l’Argentine et tout disparaît au fur et à mesure.
Après le secteur laitier, c’est aujourd’hui le sort de l’industrie textile qui attire le regard de la presse.
© Denise Anne Clavilier www.barrio-de-tango.blogspot.com
Pour aller plus loin :
lire l’article de Clarín
