Rentrée bien maussade pour le monde du patrimoine historique. On avait pourtant l'impression ces dernier mois que des prises de conscience s'opéraient, qu'une véritable volonté politique se constituait enfin pour assurer à ce secteur culturel et économique les moyens décents de (sur)vivre, voir de se développer.
Et voilà, les belles paroles évanouies, la réalité réapparait avec son triste visage, comme revient un cauchemar qu'on espérait conjuré.
Les chiffres parlent et font froid dans le dos :