Le 31 janvier 2008, Philippe Pruvost, l'un des deux administrateurs salariés de la Société Générale, juste avant l'ouverture du conseil, devant le siège, à La Défense, déclarait : "Quand un navire coule, on ne jette pas le capitaine par-dessus bord. On va faire corps et il [Daniel Bouton] va rester."
« Adolf Eichmann monta à l'échafaud avec beaucoup de dignité. (...) Ses dernières paroles furent grotesques : « Dans peu de temps, messieurs, nous nous reverrons. C'est le destin de tous les hommes. Vive l'Allemagne, vive l'Autriche. Je ne les oublierai pas. » Devant la mort il avait trouvé les phrases toutes faites que l'on dispense dans les oraisons funèbres. Hannah Arendt, Eichmann à Jérusalem. Rapport sur la banalité du mal (tr. A. Guérin, 1991)