Beautiful lies

Vous ne trouvez pas ça difficile vous, de remettre la switch à blogue après une longue pause? Recommencer à tout lire, ne pas voir le bout de ces centaines d’articles (dont certains qui datent d’un mois) qui encombrent son agrégateur. Et ça c’est sans parler de l’inspiration qui fout le camp car le cerveau est toujours en mode farniente. Quoi dire, comment, pourquoi et surtout quand? Dur. Très dur…

Parlons bouquins pour commencer. Lus et à lire. Comme le poids de ma Physique des catastrophes autant que celui de Les hommes qui n’aimaient pas les femmes risquaient de me faire payer une surcharge au moment de prendre l’avion, j’ai plutôt opté pour un livre de poche dans mes bagages : Beautiful lies de Lisa Unger.

J’ai critiqué ce livre tout au long de ma lecture, pourtant je l’ai terminé en un peu plus d’une semaine. Ce polar est d’une efficacité crasse, on a le goût de savoir ce qui se cache derrière tous ces secrets et ces beaux mensonges qui hantent l’héroïne. Ridley mène une vie bien ordinaire, jusqu’au jour où elle trouve un paquet à sa porte qui remet en doute la véritable identité de ses parents. L’intrigue tourne donc autour de sa quête de la vérité, un parcours rempli de trous et d’invraisemblances. Bonne lecture de vacances, sans plus.

Comme il me restait quand même du temps à consacrer à la lecture mais sans livre à porter de main, une visite chez Borders s’imposait, d’ailleurs TOUTES les raisons sont bonnes pour une visite chez Borders! Pourquoi ne pas en profiter en plus pour acheter “local”, White Teeth de Zadie Smith. Un livre qui a été porté aux nues à sa sortie au début des années 2000 et qui raconte, sur quelques générations, le destin de familles londoniennes d’origines diverses. Cent quelques pages lues jusqu’à présent, j’y reviendrai.

Sur ma table de chevet, mes 2 autres briques attendent toujours… en plus des autres!