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Mathieu Kassovitz - Kery James : X et Y le clip…

Publié le 26 octobre 2008 par N0w33d59

Attention, certaines représentations contenues au sein de ce clip sont succeptibles de heurter la sensibilité du jeune public…

Les paroles de XY (Kery James) :

Il brûle les corps dans cette foret…
Tu te fais souvent fumer par des mec que tu connais…
Il sorte le corps du coffre descendent de la voiture
Un œil sur le rétro Y remet son arme à sa ceinture
Y reproche à X de conduire à trop vive allure
X démarre, X attache sa ceinture
Il salut et remercie les gendarmes
Conscient et soulagé d’avoir évité le drame
Le gendarme numéro deux reste silencieux
Ce flic à de l’instinct lâche pas Y des yeux
Y se dit : çà sera tant pis pour eux
S’ils veulent fouiller le véhicule il fera feu
Ils rendent à X permis, carte grise, attestation d’assurance et carte d’identité,
Le centrale indique qu’il n’y a rien a signaler
Vois comme un simple contrôle peut dégénérer
X essuie sa sueur
Y passe un mouchoir a X ses gouttes sur son front sont celles de la terreur
Les gendarmes retournent à leur véhicule de fonction
Vérification et identification
Permis, carte grise, attestation d’assurance et carte d’identité
La vitesse est limité a 50 vous rouliez à 60 coupez le contact s’il vous plait
Mettez vous sur le coté
Ils actionnent le gyrophare
Petite ville perdue nationale tard la nuit
X fait remarquer à Y qu’une voiture les suit
X est sous tension
Y est détendu
Ce n’est pas sont premier cas de friction de coke t as vu
Rien ne l’effraie
Tu veut goutter a la rue t’en paye les frais
On l’a fait et on ne pas revenir sur ce qu’on a fait
Même mort ils l’insultent encore
2008 on fume ceux qui ne sont pas d’accord
Et ceux qui empêchent le bizness de fonctionner
La rue s’explique c’est fractionné
Une fois que la machiné a tuer est actionnée
T’as deux choix tu payes ou tu y passes
Tu te chauffes ou tu te glaces
Tu fuis ou tu t’arme et fais face
Y est ce qu’on appelle un assassin de type crapuleux qui paye pas de mine
Entre voyou et psychopathe il a franchi la limite
Il n’imagine même pas une vie après l’illicite
Quand à X c’est un jeune qui a grandi trop vite
Entre la petite délinquance et le grand banditisme
A 25 ans il vient de tuer son premier homme
Y s’attache à lui faire croire qu’il est devenu un homme
Périph’ en direction de porte de Bercy
Un cadavre dans le coffre 5 heures du mat’ en plein paris
Jusqu’à ce qu’il atteint l’autoroute il n’échange pas un mot (chuuuuut)
Tu peut appeler çà un silence de mort
Equipé le garage après l’avoir transporter tend bien que mal
Matte l’instinct animal !
Ils nettoient l’appartement du mieux qu’ils peuvent
Espérant que le temps fera disparaître les preuves
Conflit entre peur et réjouissance
Interrogation et sentiment de puissance
A ce moment précis il sait que sont premier cadavre ne sera pas le dernier
La cervelle de la victime éclate dans la baignoire
X défouraille, mais en détournant le regard
Pas facile de fumer un mec avec lequel tu as grandi
Mais qu’est ce qu’ un ami pour un bandit
Les yeux de la victime implorent la pitié
D’un regard sincère que peu d’hommes peuvent supporter
Peuvent surmonter et faire ce qu’il ont à faire
Comment faire taire l’amour quand l’argent t’envoi en guerre
X tient l’arme à la main, d’une main tremblante
Y ouvre la porte, X et Y entre Y insiste pour que se soit X qui le finisse
Pour obtenir de lui à jamais le silence des complices
Y dit savoir ou l’enterrer
Et au point où ils en sont il n’ont plus le choix faut le tuer
Si la victime s’en sortait ce qui est peu probable vu sont état
Elle pourrait se venger ou se ranger du coté de l’état
A moitié inconscient
La victime les entend
Discuter de son avenir comme s’il était déjà absent
Ils le bâillonnent, le ligotent, les pieds et les mains
Le transportent difficilement jusqu’à la salle de bain
X a encore des doutes et si jamais il n’y était pour rien
Il aurait fumé ce mec pour rien
Les impulsions violentes n’ont pas fini de faire des martyres
Et ceux temps que les mecs agiront avant de réfléchir
La victime s’écroule sous la violence du coup
Un penalty dans la face la victime est à genoux
Il prend 5..4..3..2..1 coups de couteaux dans le dos
C’est la violence « made in ghetto »
La victime se jette sur X le plaque au sol
Il prend une patate dans la bouche et un verre qui vole
La tension monte autant que les insultes fusent
PAYE ! PAYE ! La victime refuse !!
Les 10 kilos se sont évaporés
Il était trois à savoir où elles étaient planquée
Y’en a donc un qui veut doubler les deux autres
Où deux qui veulent en doubler un
Va savoir le fait est
Que récemment X c’est pris la tête avec la victime
Au début çà chambrait jusqu’à se que vienne les envies de crime
Faut pas trop plaisanter avec la rue
Elle a la rancune tenace et les paroles crues
De plus X n’a pas oublié qu’il y a 10 ans de cela
La victime lui avait rot-ca 25g de cet-la
La vengeance est un plat qui se mange froid
Tellement froid que parfois on s’en gèle les doigts
La victime se méfis d’Y le guette discrètement
Il a gardé sont blouson et ses gants
La victime s’explique
Pendant que X roule un join
Y reste debout près du bar Américain
Sur la table basse se trouve un couteau dans un plateau
Contenant un gâteau découpé en parts
Préparé par sa petite dame
Une fleur synthétique une photo et du vernie
Il refuse il leur propose à boire
La victime méfiante préfère les suivre dans le couloir
Il planque le calibre à sa ceinture..
Le gars ouvre le silencieux sur le béréta
Ils sont derrière la porte, il sonne
La victime se lève répond à l’interphone
Pour la dernière fois
C’est comme çà que çà c’est passé
Pour 10 kilos de C.C
Tu peux te faire effacer
Ne croit pas que la rue joue avec toi
Si tu te frottes à l’univers des youvoi
Tas rien compris remet ce morceau au début
Mais le début c’est la fin et sa commence par t’es prévenu


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