2 degrés de séparation avec Johnny Depp!

J’aime bien me garder une petite gêne et c’est plutôt rare que j’utilise cette tribune pour jouer au name-dropping. Sans flirter quotidiennement avec la “veudette”, mettons que mon travail me permet parfois de côtoyer des gens qui titillent ma fibre de groupie.

Aujourd’hui cependant je me permets de faire une légère exception, simplement pour confirmer la règle. La semaine dernière j’ai eu la chance de rencontrer et de passer quelques heures en compagnie d’un chanteur français super charmant et gentil comme tout, Albin de la Simone. Moi qui ai beaucoup écouté « Tu vois, j’ai changé, j’ai changé, j’ai changé, ne t’inquiète pas! », j’étais ravie! Albin (parce que, eh oui, je l’appelle maintenant Albin!) était en ville pour participer au spectacle bénéfice de Jeunes musiciens du monde et, entre deux entrevues, il est venu casser la croûte au bureau. Exceptionnellement le téléphone s’est tenu à peu prêt tranquille (un luxe suprême à cette heure-là), ce qui nous a laissé la chance d’avoir un sympathique dîner entre “potes”. Il y a des gens comme ça avec qui le contact est rapide et la conversation facile : les rigueurs de l’hiver québécois (un classique avec les cousins français!), ses nombreuses visites ici (il en est presque à une douzaine de traversées de l’Atlantique), la sortie imminente de son album Bungalow au Québec (pas avant 2009 toutefois) et sa récente collaboration en duo avec Vanessa Paradis.

Ce genre d’activité quelque peu impromptue rend définitivement un environnement de travail stimulant! D’autant plus, en y réfléchissant bien, j’ai réalisé qu’il n’y a maintenant que 2 degrés de séparation entre Johnny Depp et moi. Le monde est vraiment petit!