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Le hors-série Very Elle

Publié le 30 octobre 2008 par Cecile Berthelon @walinette

Bon, j'avais prévu un grand billet aujourd'hui sur Annabel Winship, et puis un "contretemps" hier a foutu en l'air mon planning.
En même temps, peut être que ça valait le coup. Ou pas. Vous jugerez, je ne manquerai pas de vous en reparler.

Moralité je me suis dit que j'allais faire une petite grève de blog d'une journée, ça n'a jamais tué personnne.
Et ça là que je me fais peur, ca vous savez quoi ? Je ne peux pas.

Une petite info donc en passant :

J'ai reçu le nouveau numéro du Very Elle. Le hors-série d'automne de Elle, un peu plus luxe, un peu plus femme (si si, c'est possible). Je ne peux pas comparer avec le numéro 1, je n'avais vu que sa version virtuelle.
Premier contact : La couv épaisse, glacée, les caractères argentés... je ne sais pas si cela m'intimide ou quoi (m'enfin franchement, être intimidée par un magazine...) mais j'ai eu du mal à l'ouvrir et rentrer dedans. Le sentiment que ce magazine n'est pas vraiment fait pour moi : je ne connais pas les 3/4 des personnalités citées. Sauf les "it-girls" : Nicole Ritchie (drôle de choix de couverture et mise en avant) et Rumer Willis. Passons.

Bizarrement j'ai envie de dire, c'est dans les textes que le Very Elle trouve son ton. Prenez l'article sur Nicole Ritchie par exemple : la série photo, je ne suis pas convaincue : une ado qui a piqué les fringues de sa mère, ça ne colle pas (au contraire des séries suivantes avec Mélanie Laurent ou Drie Hemingway (? qu'est-ce que je vous disais) plutôt réussie).
L'interview basée sur les réponses de Nicole aurait pu être d'une fadeur sans nom. Et bien je ne sais pas qui est ce Jean-Yves Katelan, mais le coup des apartés entre crochet plus longues que les réponses elles-mêmes sont hilarantes (voir le "grow a pair" page 106) et apporte une couleur et une personalité au magazine. Comme si finalement, sous cette maquette prétentieuse se cachait un second degré.
J'ai apprécié également : l'article de Sophie Fontanel sur les "drôles de femmes", ou comment sous des femmes fatales se cachent des comiques et vice-versa, les deux notions n'étant pas si antithétiques que cela.
C'est facile vous me direz, de se précipiter pour commencer sur cet article : un Elle sans Fonelle, c'est comme un coca sans bulles...
Moralité : un hors-série qui se mérite. Pas facile d'accès mais qui recèle quelques pépites.

PS : voilà, je me la pète en disant que je fais des billets à rallonge, et ben POF, pas eu le temps aujourd'hui...


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