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FranzK - Blue K le 7 nov. 08 au Swan Bar

Publié le 31 octobre 2008 par Dolphy00
FranzK - Blue K le 7 nov. 08 au Swan BarBlue Kabaret : le nom est évocateur, mais de quoi ?
Une rencontre vous est proposée le 7 novembre au Swan Bar à 21h30
165 bd du montparnasse paris 6ème m ° raspail et vavin
RER port-royal  entrées 10 euros
réductions 7 euros  sur www.billetreduc.com/19649/evt.htm
tel /résa  01 44 27 05 84
et  [email protected]
 
Site : http://www.myspace.com/swanbar


Ce qu'en dit la presse :

“ et là...surprise, le “Franz K. Trio” : à retenir Cyril Trochu au piano,
et j’ai envie de dire au piano écarté, Guillermo Benavides à la contrebasse,
et une chanteuse frappée et gonflée : Françoise-Franca Cuomo...
Cela bouscule un peu d’où la curiosité de connaître ce nouveau Franz K. Trio...”
Julien Delli Fiori in “ Ascenseur pour le jazz” France Inter

SILEX ( chronique CD )
“ On ne parlera pas pour ce splendide enregistrement d’une chanteuse avec accompagnateurs”
encore moins d’un “trio au service d’un répertoire” et on oubliera la figure classique de la
“ chanteuse que sa virtuosité met au niveau des musiciens”.
Leurs morceaux trouvent le plus souvent leur origine dans des textes : extrait du Journal de Kafka,
mise en musique de textes de W.H. Auden, Lewis Carroll ou Michel-Ange, ou encore Summertime
ou Strange Fruit entièrement repensés autour de leurs mots.
La musique du trio relève d’un art de conter ( texte en langue originale et en français ) d’une intimité
qui s’origine dans un centre obscur. Le chant de Françoise-Franca Cuomo se définit à partir de sa
parole par de grandes variations de longueur, le port parfois de la voix, des silences qui inscrivent
dans le fil musical la force expressive de leur manque et des variations de hauteur et de volume portées
par l’émotion qui s’y rencontre. Le chant fait passer la frontière au-delà de laquelle, comme dans Nosferatu,
“ les fantômes vinrent à leur rencontre”. La contrebasse de Guillermo Benavides glisse dans cette voix
des relances, une énergie, un volume inattendu, une respiration. Le piano discret de Cyril Trochu n’impose
pas la force de sa mécanique mais offre un abord modérément percussif, une sorte de picorage ; sa table
d’harmonie est la place publique de cette musique très violemment intérieure.”
Noël Tachet  in “Improjazz”  janvier 2007



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