Dans ma série des grands albums, des classiques du jazz, je ne pouvais passer à côté de The Black Saint and the Sinner Lady, l'oeuvre faramineuse du tout aussi faramineux Charles Mingus, bassiste et compositeur de génie. Cet album est sûrement le plus impressionnant disque de jazz que j'ai pu écouté. Impressionnant par la diversité des ambiances, le nombre d'instruments (ben oui, souvent ça se limite à 3 ou 4 instruments, là on en est à 10 ou 11 pour chaque piste), la folle intensité des six...
Cliquez sur le titre pour voir/entendre/lire le contenu de ce billet.