Papa à la chasse aux lagopèdes. D'abord, parce qu'un nouveau film de Robert Morin, c'est comme un cadeau, ça ne refuse pas. Ensuite, parce que vous vous priveriez d'un des meilleurs films de l'année. Enfin, parce que les mots de Morin, sa caméra en abîme constante et le charisme de François Papineau en PDG lâche, voleur et séducteur, ça n'a l'air de rien, mais ça fait un maudit grand film.
En prime bonus, une parodie de Charles Tisseyre qui nous explique le merveilleux monde de la finance, à inscrire d'urgence au répértoire des scènes les plus jouissives du cinéma québécois