Quatrième de couverture :
Le Maine, 1970. Ben Mears revient à Salem, s’installer à Marsten House, inhabitée depuis la mort de ses propriétaires, vingt ans auparavant. Mais très vite, il se rend à l’évidence : il se passe des choses étranges dans cette petite bourgade. Un chien est immolé, un enfant disparaît et l’horreur s’infiltre, s’étend, se répand, aussi inéluctable que la nuit quid descend sur Salem…
Mon avis :
Ce livre va ravir les fans d’histoire de vampires. Pour être honnête, rien de nouveau sous le soleil, il s’agit d’une histoire de vampires des plus classiques, à la sauce Stephen King, il s’agit de son interprétation de Dracula.
Ce qui fait le charme de ce livre c’est bien évidemment l’écriture de King. Comme d’habitude l’action se situe dans le Maine. Une fois de plus, il part d’une situation tout à fait normale et banale pour nous conduire très progressivement et très lentement vers une terreur qui ne nous lâche plus jusqu’à la fin du livre. Ce qui fait aussi la différence c’est l’introduction, une fois de plus, du thème de l’enfance et de ses peurs, si cher à King. Enfin, le livre se termine mal, et, de temps en temps, une fin malheureuse est bénéfique au livre. A mettre au crédit de King le fait que l’ambiance du livre est très proche de celle du Dracula de Bram Stoker. Un excellent livre à déguster le soir, au coin du feu…