... et ceux qui désireraient entendre le résultat peuvent cliquer sur le lien ici.
Il y a les infos d'abord. L'entretien commence exactement au début de la sixième minute.
Bon, j'y abuse un peu du verbe ligoter il me semble. Mais pour la prochaine fois, promis, je chercherai des synonymes.
Et, tenez, puisqu'on y est et que ce blog me sert aussi à stocker des archives, je vais rajouter ci-dessous deux petits articles qui ont été écrits sur mon livre. Le premier est paru dans le journal Le Nouvelliste du 22.12.08 et le second dans Le Journal de Sierre du 12.12.08.
Finalement, tout ça va faire un petit dossier de presse...
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LES ANNÉES
POP À CHERMIGNON
Une éducation sentimentale
VÉRONIQUE RIBORDY
Alain Bagnoud, «Le jour du dragon», L'Aire.
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À LA SAINT-GEORGES
Alain Bagnoud a depuis longtemps quitté
le Valais. Physiquement seulement. Car la trame de son nouveau roman
se déroule, une fois de plus, du côté de
Chermignon où l'écrivain est né il y a
quarante-huit ans. «Le jour du dragon» aux Editions de
L'Aire, révèle immédiatement le décor. On
est au début des années 70, c'est la Saint-Georges à
Chermignon. Pour le garçon qui participe à la fête,
c'est l'entrée dans la fanfare, mais aussi le premier béguin,
la visite chez un peintre citadin, l'invitation à une boum...
C'est toute la tradition et la modernité qui s'entrechoquent
et se vivent en même temps, le ventre tendu. Le blouson en
simili-cuir et le verre de fendant, le rock d'un côté,
la baguette de tambour de l'autre, les jeunes et les vieux et cet
adolescent au cœur d'un récit qu'on devine autobiographique
mais qui possède des envolées initiatiques
universelles. Un roman qui se lit comme une carte postale, avec plein
de détails qui font juste plaisir, car l'on s'y croirait...
Isabelle Bagnoud