Avez-vous vu la finale des internationaux d'Australie dimanche dernier? Moi non. Mais j'ai vu ceci, tout le milieu du tennis en parle: les pleurs de Roger Federer.
Ce type a gagné treize ou quatorze titres du grand chelem, il a atteint le sommet du tennis a l'âge où la plupart des momes passent leur bac, il a été le numéro un pendant deux longues années, il doit gagner 10 à quinze millions de dollars par an, il est jeune, il est beau, et il trouve encore les ressources pour pleurer comme un gosse puni, après avoir été battu en 5 sets par son grand rival, Rafael Nadal, qui gagne pour la première fois en Australie...
Moralité: quel est l'homme heureux, demandent les Pirkei Avot? Celui qui est satisfait de son sort. Visiblement, Roger ne l'est pas. Dieu que la vie est injuste...