Et on recommence…

Maudit soit le virus qui rend notre belle Papoute malade au point où nous ses parents, devenons mous comme pas possible (et très certainement idiots sans bon sens, mais quels parents peuvent s’en tenir au strictement rationnel?).

• Papoute chérie veut du chocolat même si elle n’a pas mangé de la journée - pas de problème disent les parents mous, tant qu’elle se met un peu d’énergie dans le système
• Papoute adorée veut sa doudou (et donc téter ses doigts) all day long - pas de problème disent les parents mous, tant qu’on ne l’entend pas chigner
• Papoute préférée veut écouter 5 millions de films en ligne - pas de problème disent les parents mous, tant qu’elle reste étendue et se repose
• Papoute malade veut faire dodo avec papa et maman - pas de problème disent les parents mous, ça va rassurer la mère-ben-trop-stressée de l’entendre respirer (et de recevoir un p’tit coup de pied de temps à autres)
• Papoute veut… - pas de problème disent les parents mous, ce que Papoute-malade veut, le parent-à-bout-de-ressource le veut tout autant (vous voyez le topo, non?)

Mais là, là! y’a un genre de moment donné où sa récupère et où ça se remet à péter le feu ces petites bêtes là. Malheureusement, le parent-mou a tellement permit de trucs pas possibles, que la belle progéniture elle, elle est pas folle et continue d’avoir de grosses attentes! C’est alors que le parent-mou est comme qui dirait: fourvoyé (solide à part de ça)! Parce que vous croyez que ça chigne un enfant malade? Eh! bien faut voir comme ça chigne un enfant en santé (et qui en plus, a la tête dure). IN-SU-POR-TABLE!

Voilà, ça se passe présentement chez les Papoutes, où un sale virus de quatre jour vient de minutieusement bousiller une rigoureuse éducation de 2 ans.

*soupir*

Des trucs pour s’en sortir?