Le Pitch:
Laranjinha et Acerola vont bientôt avoir 18 ans. Ils ont grandi ensemble dans les favelas de Rio de Janeiro. Acerola est marié et a un fils de deux ans dont il doit s'occuper. Habitué à sa liberté, il se sent prisonnier et vit sa paternité comme un fardeau. Pour Laranjinha, le problème n'est pas d'être père, mais de ne jamais en avoir eu. Bien décidé à retrouver son géniteur, il commence à fouiller dans son passé. Alors que les deux amis se débattent avec les premières épreuves de l'âge adulte, ils sont entraînés malgré eux dans les guerres intestines que se livrent les trafiquants de drogue et les bandes locales...
Si la série brésilienne qui a réuni pas moins de 30 millions de téléspectateurs durant 5 saisons c'est démarqué du standard classique voir de la mode actuel des séries grâce à sa mise en scène ingénieuse que son coté ultra immersif et surtout l'approche très engagé de ces géniteurs, le film tant attendu fait grise mine et ne comble réellement pas l'attente de ceux qui ont pleuré, rie et qui ont été émus par l'histoire d'acérola et naranjina.
Un film respectable, mais qui est indigne de sa série ; une approche destiné plus au Téléfilm que pour le grand écran, une histoire qui se voulait captivante, mais qui a la fin est assez pauvre malgré la présence du casting au grand complet de la série, quelques éléments intéressant s'y greffent, mais sans plus beaucoup s'attendaient certainement à une suite à la cité de dieu voir tout simplement un beau final de la série la cité des hommes, cela n'aie réellement pas le cas.
Un film qui auraient certainement rejoint le statut de culte comme pour sa série, mais qui cruellement a raté la rampe a cause d'un scénario peut travailler ; des personnages secondaires mis un peu trop à l'écart ce qui aurait certainement donné une autre dimension au film.
En conclusion la cité des hommes est un film à se mettre sous la dent, mais qui risque de décevoir les aficionados de la série et du remarquable la cité de dieu.
Chroniqué par R.
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