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Friday night lights : 2.06 How did I get here

Publié le 09 mars 2009 par Tao

jessalyn gilsig dans friday night lightsQuoi de neuf dans Friday night lights ?

Et bien dans une nouvelle saison, on a l’habitude de voir arriver de nouveaux personnages ne serait ce que pour trois, quatre épisodes. Et l’une des pro au niveau de l’incruste c’est Jessalyn Gilsig. On a déjà vu cette actrice dans un peu toutes les séries. De Nip/ tuck à Heroes en passant par Prison break et Les experts Manhattan. Et la voilà maintenant dans Friday night lights dans le rôle de la sœur de Tami. Evidemment elle juge le mode de vie de sa sœur, évidemment elle dévergonde Julie, évidemment elle va créer des problèmes. Je ne sais pas pourquoi mais je la vois bien coucher avec Tim Riggins. Il doit bien rester un peu de Gina Asshole de Nip/ tuck en elle, non ? Etrangement même si je connais l’actrice depuis longtemps elle colle parfaitement en sœur de Connie Britton et ça semble parfaitement crédible. Mais je la surveille car je ne pense pas qu’il ressortira du bon de cette histoire même si les Taylor y sont impliqués.

L’histoire du meurtre prend déjà un tournant important. Le père de Landry est maintenant au courant de tout et de façon assez surprenante, il aide son fils et brûle les preuves pouvant remonter à son fils. Pas très malin tout de même car le super flic venu l’aider à résoudre cet homicide va vite apprendre qu’il possède un break correspondant au modèle recherché et comme par hasard celui ci a été incendié. Mais des suspicions n’ont jamais remplacés des preuves donc tout semble okay. Mais croyez vous vraiment que Landry va réussir à tenir sa langue ? Je vais être gentil, je lui donne deux minutes pour craquer lors du futur interrogatoire. Je ne l’a jamais dit mais les deux acteurs jouant le père et le fils sont extrêmement bien trouvé, merci à la personne s’occupant du casting. Tous les deux se ressemblent très forts et il est facile de les croire père et fils. Ce genre de détail n’est pas toujours très raccord dans les séries, on voit ici tout le soin apporté dans Friday night lights.

Jason tire un trait sur le football en fêtant son anniversaire. J’aime bien cette évolution car Street m’a moins soûlé qu’à l’habitude. Je l’ai trouvé très émouvant face au coach. Jason accepte finalement son handicap et fait le deuil de celui qu’il était. Le voyage au Mexique n’aura donc pas servi à rien. Et les trois amis réunis lors du dernier épisode prennent chacun des voies différentes. Cela dit sans le football a quoi va bien pouvoir servir Jason ? Il faudra lui trouver une nouvelle histoire mais quoi ? C’est le grand point d’interrogation.

Prenant exemple sur Jason, Julie était également moins énervante cette fois. Elle s’excuse auprès de Matt et l’espace d’un instant j’ai retrouvé la Julie du début. Intelligemment on ne verse pas dans la facilité et Matt ne pardonne rien. J’aime bien le Saracen de cette saison 2. Il est toujours aussi un garçon aussi simple et gentil mais moins naïf. Matt c’est en fait le pote de lycée que l’on aura tous aimé avoir. Un star de foot mais qui n’a pas la grosse tête comme un certain Smash et qui n’oublie pas ses amis ni d’où il vient. Par contre on laisse sur le côté l’infirmière de sa grand mère mais je suis certain qu’il se passera quelque chose entre eux.

Arriva ce qui devait arriver pour Tim Riggins, il se fait jeter de l’équipe. Et ça m’a fait rire de voir les deux frères Riggins complètement à la masse dans le bureau de Tami. Il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. On joue aussi avec la pompe à lait de Tami, un trait d’humour qui fait mouche. Tôt ou tard, Riggins reviendra dans l’équipe. En attendant, Buddy lui a trouvé un super remplaçant avec Santiago. Les magouilles de Buddy me font toujours autant rire. Il fait passer son nouveau protégé pour un élève du lycée et essaye de le faire rentrer dans l’équipe.

Bilan : FNL reprend du poil de la bête. De bonnes histoires, de bonnes évolutions. Bref on rectifie bien le tir et des intrigues pouvant me laisser sceptiques au départ prennent une bonne tournure. Et puis si Street et Julie deviennent moins tête à claque, ça veut dire que tout est possible. Je m’inquiète par contre pour Santiago car je crains vraiment le m’importe quoi avec ce personnage qui d’emblée ne semble pas très attachant. C’est m seule vraie crainte pour la suite.



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