
Les annonces vendues au coût par 1000 - une somme X versée pour 1000 pages affichées - représenteraient aujourd'hui 89 % de leurs revenus publicitaires, contre 73 % voilà deux ans. En parallèle, la fréquentation a augmenté pour 43 % des éditeurs et le prix de vente du CP1000 avec.
Si 39 % d'entre eux avouent passer par une formule d'abonnement actuellement, cette dernière reste essentielle pour éviter de rester dépendant de la publicité, et dans la quête de revenus, cette solution reste une alternative probante. En outre, les éditeurs ont également, à 59 % reconnu investir dans la formation, ce qui est pourtant le secteur le moins visé en période de crise. Mais la qualification du personnel employé permet également d'améliorer le service proposé.
Reste que la limite de l'abonnement payant... est la gratuité du contenu et que pour les éditeurs en ligne, que l'on parle de livres ou de presse, les difficultés s'amoncellent lorsque des concurrents viennent offrir les mêmes services gracieusement.