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Allaitement au sein: bénéfices et limites dentaires

Publié le 09 avril 2009 par Estelle36
Dernière modification le 09-04-2009
Lorsque nous avons publié un article dont le thème était l'allaitement au sein: bénéfices et limites dentaires, sur le site des éditions Luigi Castelli, nous ne pensions pas déclencher des réactions passionnées. Certaines mamans se sont senties remises en cause par cet article qui déconseille un allaitement trop long. La réaction de l'une d'elles est publiée sur le site des éditions.

Le sujet de l'allaitement au sein avec ses bénéfices et limites n'ayant pas fini de faire débat, il paraît utile d'y revenir pour apporter quelques précisions. Il est bien entendu que l'opinion formulée ici sur l'allaitement au sein se limite à la sphère dentaire, du point de vue de la croissance des mâchoires et son moteur la maturation de la langue.

Qu'est-ce qu'un allaitement long ?

De notre point de vue, un allaitement long est un allaitement qui se prolonge au delà du moment où l'enfant a suffisamment de dents pour mastiquer et donc développer une autonomie alimentaire. Avec l'apparition des premières molaires de lait, l'enfant est suffisament équipé pour pouvoir mastiquer une nourriture solide et il l'est complètement dès la mise en place de la denture de lait dans sa totalité, vers l'âge de deux ans.

Allaitement au sein: quand arrêter

Comme l'OMS, nous recommandons l'allaitement au sein exclusif durant les six premiers mois. C'est l'apparition des premières dents qui donne le signal du sevrage. Celui-ci doit être progressif jusqu'à l'âge 18 mois, soit jusqu'à l'apparition des canines, moment où l'enfant devrait être complètement sevré. La méthode de diversification laissée à l'initiative de l'enfant semble permettre d'opérer cette transition en douceur.
Ainsi, pour résumer, on distingue trois périodes:

- six premiers mois de vie (stade édenté): allaitement au sein exclusivement,
- de six mois à dix-huit mois (jusqu'à l'éruption des canines): alimentation mixte par allaitement et diversification alimentaire,
- au-delà de dix-huit mois : alimentation solide exclusivement.

En revanche, poursuivre l'allaitement au-delà du moment où l'enfant a ses canines en place (vers un an et demi à 2 ans) n'est pas une bonne chose du point de vue de la croissance des mâchoires car dans ce cas la succion entrave la maturation de la déglutition essentielle à une bonne posture linguale et donc à une croissance correcte des mâchoires*. Bien entendu, il serait aberrant de sevrer un enfant du sein pour le mettre au biberon. Le sevrage dont il est ici question fait allusion à toute forme de succion (sein, biberon, tétine, pouce).

Bénéfices et limites de l'allaitement au sein
Un des bénéfices de l'allaitement au sein (mais pas de l'allaitement au biberon) est de permettre un bon développement des mâchoires. En effet, l'allaitement au sein oblige l'enfant à propulser sa mandibule et favorise ainsi le rattrapage du rétrognatisme naturel du bébé à la naissance (menton tout petit).
Néanmoins, les mouvements de propulsion ne sont font que dans un sens de l'espace (sens antéro-postérieur) et ne sont donc pas suffisants pour permettre le développement transversal des mâchoires, si important pour le bon alignement des dents. Les mouvements de propulsion ne permettent pas davantage le bon développement des ATM ou articulations des mâchoires. En revanche, dès que l'enfant abandonne la succion pour adopter une nourriture solide qui l'oblige à mastiquer, des mouvements hélicoïdaux se mettent en place. Ces mouvements plus complexes ont un impact sur le développement en largeur des mâchoires et sur le développement des ATM.  Ils favorisent en outre la maturation du cortex cérébral, de même que les mouvements de préhension quand l'enfant boit au verre.

Allaitement versus mastication
On peut se poser la question de l'opportunité de maintenir l'allaitement au sein en même temps que l'enfant mastique. Du point de vue psychomoteur, physiologique et psychologique, les deux activités que sont la succion et la mastication, sont fondamentalement opposées. La succion repose sur l'activité de la langue qui fait piston et s'étale largement entre les arcades dépourvues de dents. La succion est physiologiquement le mode d'alimentation du bébé édenté. La mastication fait bien sûr appel aux dents qui encerclent la langue et ont pour fonction de l'empêcher de déborder entre les arcades (c'est pourquoi la déglutition ne peut évoluer que lorsque suffisamment de dents sont présentes et font rempart à la langue). La mastication doit devenir le mode d'alimentation dominant de l'enfant dès que les première molaires de lait sont en place, soit vers l'âge de 12 mois, période qui correspond à l'acquisition de la marche.

Contradiction entre allaitement et mastication
Prolonger l'allaitement au-delà de l'âge de 18 mois, alors même que l'enfant est parfaitement capable de mastiquer sa nourriture, induit, de notre point de vue, une contradiction physiologique (déglutition, position de la langue) et psychologique chez l'enfant qui, bien que capable d'autonomie (marche, contrôle des sphincters, etc.), continue pourtant de téter comme le bébé. De cette contradiction dans le message envoyé à l'enfant découlent une bonne part des caries dites du biberon que l'enfant déclenche dans un contexte d'allaitement prolongé au sein ou au biberon.


Allaitement au sein et caries du biberon
Évidemment, il n'est pas question de dicter aux mamans ce qu'elles ont à faire et le mieux est sans doute d'écouter son instinct de mère. Si tout se passe bien, que l'enfant grandit bien et s'épanouit sans caries ni autres problèmes, on peut continuer à allaiter au-delà de l'âge de 18 mois si on pense que c'est bien. En revanche, l'apparition de caries du biberon qui se manifestent à leur début par des taches blanches au collet des dents, doit amener à se poser la question de la nécessité de mettre fin à l'allaitement, au sein ou au biberon.


Note : contrairement aux idées reçues, les caries dites du biberon se produisent aussi bien en cas d'allaitement au sein qu'en cas d'allaitement au biberon.
* Le rôle de la langue dans le développement des mâchoires est détaillé ans Orthodontie, halte au massacre qui explique comment prévenir les troubles orthodontiques en agissant dès la naissance.

Le débat est ouvert. Pour y participer ou donner votre avis, cliquez sur commentaire, ci-dessous.


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LES COMMENTAIRES (3)

Par estaran
posté le 31 juillet à 22:06
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3 ALIMENTATION, MALADIES ET MORT DES NOURISSONS

3.1 L'allaitement du nourrisson « La nature humaine est comme un nourrisson, que rien n'alimente si bien que le sein maternel, si bien, que les enfants qui reçurent longtemps la nourriture du sein maternel - à supposer qu'elle soit aussi saine qu'une Eve - seront si fort et vigoureux qu'un combat avec un lion ne les effrayera pas. » ( Le grand évangile de Jean Vol. III Chap. 211,6 )

Comme vous le savez déjà, le lait maternel est la première nourriture du nourrisson; ce lait n'est pas le produit des glandes qui se trouvent dans les seins, mais c'est le produit de l'amour que la mère n'a jamais ressentie auparavant comme amour maternel, mais que le nourrisson ressent et identifie à l'amour maternel avec lequel il veut grandir et s'épanouir, mais que la nature ne lui permettra pas de garder à plus longue échéance et qui devra être remplacé par une nourriture plus substantielle » (Guérison - conseils diététiques p. 122 )

Si la mère mange des aliments malsains qui ont été proscrits par Moïse, alors elle ne doit pas allaiter son nourrisson, mais le confier à une nounou qui observe strictement une alimentation saine, autrement elle aura de graves problèmes avec son nourrisson. ( Le grand évangile de Jean Vol. I Chap. 242,6 )

Si pendant la grossesse quelque chose a fortement excité votre âme, alors il est prudent de ne pas allaiter votre enfant jusqu'à ce que vos sentiments se soient complètement apaisés! Car le lait maternel a été également perturbé, ce qui n'est pas sans danger, non seulement pour l'âme du nourrisson mais également pour la constitution de son corps charnel. ( Le grand évangile de Jean Vol. IV Chap. 80,8 )

3.2 L'allaitement et alimentation des nourrissons difficiles « L'enfant, qui se montre déjà sensible au berceau et s'excite très facilement, devrait être nourri avec une nourriture saine exempte de tout excitant aussi longtemps qu'il n'a pas encore de mémoire. Si la mère allaite son enfant, elle devrait s'abstenir autant que possible de toute nourriture et boisson excitante qui échauffent le sang, pour éviter que ces spécificités qui génèrent en général la colère ne s'introduisent dans son lait maternel. Aussi que la mère nourricière soit consciente de cela et s'abstienne impérativement d'une alimentation qui produit un fiel dommageable. Elle doit être très attentive à son alimentation et éviter autant que possible les fruits en cosses, tout particulièrement les haricots, par contre ce qui est recommandé ce sont les bouillons et les rôtis de viande saine, ( éviter absolument la viande de porc) ce qui est recommandé également se sont les produits à base de farine de blé, de maïs blanc et de farine de seigle, de flocons d'avoine ou de riz cuit dans du lait écrémé, ce qui est une nourriture très reconstituante. Si une mère n'allaite pas personnellement son nourrisson, mais le fait allaiter par une nounou - ce qui dans bien des cas n'est pas recommandable - car on devrait s'assurer d'abord de la compatibilité de la nounou avec le nourrisson et des ses sentiments maternels, si elle est vraiment une âme noble et si elle respecte la diète recommandée aux mères nourricières et s'assurer aussi de sa chasteté d'esprit. Que le nourrisson soit allaité par sa propre mère ou par la nounou, elles doivent sevrer le nourrisson dès qu'apparaissent les premières dents, car avec les premières dents la mémoire apparaît chez l'enfant, dès lors il faut commencer à alimenter l'enfant avec de la bouillie de froment légèrement sucrée avec du miel, ce serait la meilleure nourriture pour un enfant facilement irritable. On peut conseiller également de donner parfois des figues ou des caroubes cuites. Après le sevrage du lait maternel, veillez bien à la qualité du lait animal avec lequel vous préparez les biberons et les bouillies, car les animaux peuvent être aussi malades et produire un lait pathogène ce qui arrive souvent en hiver. D'autre part les animaux peuvent être de tempérament fougueux, et leur lait pourrait nuire à la santé de l'enfant. Pour les enfants de un à deux ans coupez le lait avec un peu d'eau, pour les enfants un peu plus âgés, les bouillies de lentilles sont très fortifiantes. Les compotes de fruits cuites seront appréciées, car les fruits et tout particulièrement la pomme ainsi que la poire purifient le sang. En ce qui concerne la viande, il ne faut pas leur en donner avant la mutation de leurs dents. Si les enfants reçoivent de la viande plus tôt, alors leur sang deviendra trop riche ce qui infectera leurs organes de transpiration, d'où peuvent surgir de nombreuses maladies dangereuses. Quand les enfants arrivent à l'âge où ils peuvent marcher et parler il est nécessaire de tranquilliser et d'éveiller leur jeune âme par toutes sortes de jeux pour fixer leur attention, et veiller également de ne pas les irriter par des jeux contraignants et encore moins par des sentiments brusques qui pourrait les affecter et déclencher des crises nerveuses. Si malgré toutes les précautions prises l'enfant éclate en sanglots avec des cris stridents, en trépignant des pieds, ce qui est une manifestation de colère et de violence due à un refus d'obéissance, alors il ne faut pas manquer de le punir, non pas tellement avec un martinet, mais en le sermonnant et en le faisant jeûner raisonnablement dans la juste mesure, car il n'y a rien de mieux que la faim pour calmer la colère, la preuve en est, c'est que les estomacs vides, les affamés, ne sont pas enclins à fomenter des révolutions. Par contre on ne peut pas faire confiance a ceux qui regorgent d'opulence. Ce qui serait très profitable pour les enfants, qui ont été puni pour les mêmes raisons, c'est de leur dire et leur faire comprendre, que c'est parce qu'ils n'ont pas été sages que le père céleste ne leur a pas envoyé de pain. Mais dès qu'ils seront de nouveau sages, il leur enverra de nouveau du pain. Par cela vous commencez à attirer leur attention qu'il y a un père céleste ce qui se gravera profondément dans leur jeune âme, et qu'ils dépendent en tout de ce père céleste qui est Dieu, celui qui a tout créé, qui récompense les sages et puni les méchants. Quand les enfants sont devenus sages et obéissants, alors il ne faut pas manquer de leur dire et leur faire comprendre la grande joie de leur père céleste qui journellement matin, midi et soir rappelle: laissez venir à Moi les petits enfants ! Si les tout-petits enfants étaient ainsi élevés, leur savoir-vivre en serait plus tard facilité. Par contre s'ils ne sont pas élevés dans cet esprit, il sera beaucoup plus difficile de les mettre sur le droit chemin, et le proverbe ne trompe pas lorsqu'il dit: un vieil arbre ne se laisse pas redresser, uniquement dans certains cas et très rarement par la foudre et l'orage, d'où il sort rarement sans grands dommages. Quand ces enfants atteignent leur majorité, une pleine conscience de soi-même, et se sentent néanmoins agressé par des sentiments d'excitation et de colère, alors il faut leur conseiller une vie modérée en toute chose, éviter autant que possible les boissons alcoolisées, surveiller attentivement leur nourriture, tout particulièrement les viandes, éviter de consommer de la viande de porc, ne pas fréquenter les cabarets et les spectacles à caractère frivole et tout particulièrement les bals qui échauffent le sang et excitent les sens, et combattre toutes ces tentations par une lecture saine tout en allant se coucher tôt pour pouvoir se lever à la première heure, qui est la meilleure heure de la journée. ( La terre et la lune Chap. 62,3-17)

3.3 Possession et mort des nourrissons par une nourriture malsaine « Aussi longtemps que l'âme exige de la nourriture pour son corps matériel, elle lui sera fourni, mais elle reçoit en même temps dans son corps une légion d'esprits déjà libres qui sont plus ou moins impurs et mauvais et qui doivent contribuer à bâtir son corps. Ces esprits se regroupent progressivement et forment bientôt selon leurs spécificités une âme intelligente nouvelle selon leur spécificité, quand elle arrive à ce stade alors elle abandonne l'âme véritable et commence à aménager sa propre demeure dans le corps de l'enfant selon sa propre nature. Cela s'accomplit au détriment du jeune corps toujours avide de nourriture et jamais rassasié, ce qui est un signe incontesté. Aussi l'âme étrangère doit être impérativement chassée par une maladie ou un autre moyen quelconque, si on ne veut pas que l'enfant soit complètement possédé. D'autre part si on ne veut pas trop tourmenter la véritable âme très affaiblie, alors on la laisse cohabiter avec l'âme étrangère un certain temps et on essayera de chasser cette racaille par d'autres moyens, par le jeûne et toutes sortes de privation et par un enseignement ou une action extérieure agissant sur l'âme, par (exorcisation) ; lorsque l'âme démoniaque se manifeste par des cris stridents et des spasmes violents, il est souvent trop tard et cela se termine tragiquement pour le désespoir des parents, mais non point pour l'âme de l'enfant qui continuera son épanouissement dans l'au-delà. C'est pourquoi les parents doivent veiller tout particulièrement à la bonne qualité de la nourriture du nourrisson. Si la mère ne respecte pas les consignes alimentaires données par Moïse, alors elle ne doit pas allaiter son enfant sous peine de graves ennuis de santé pour l'enfant, alors il est préférable de confier l'enfant à une nounou à condition qu'elle respecte impérativement les lois de Moïse concernant la nourriture ainsi que la chasteté. Pour cette raison, déjà Abraham et ensuite tout particulièrement Moïse ont non seulement montré aux juifs les aliments sains et malsains provenant des animaux et des végétaux, mais les ont érigés également en loi. Et tous ceux qui respectaient ces lois n'ont jamais eu d'enfants malades et atteignaient souvent eux même des âges canoniques en bonne santé. Mais de nos jours, où les gens courent après toutes sortes de friandises, sans se soucier si elles sont saines ou non pour leur santé, et avalent souvent avidement presque n'importe quoi, du moment que cela leur parait comestible, c’est un miracle que ces personnes ignares et voraces gardent encore l'apparence humaine alors que leur âme s'identifie déjà à celle de l'animal. Maintenant les nourrissons sont déjà malades au berceau, ce qui à notre époque est devenu presque normal, les parents en sont seuls responsables dans la plupart des cas du fait qu'ils ne se soucient pas de la qualité de la nourriture qui peut contenir des myriades d'esprits impurs qui s'infiltrent par ce canal dans l'âme du nourrisson et qui dans de nombreux cas provoquent la mort du nourrisson, et cela encore une fois, parce que les parents aveugles préfèrent suivre toutes sortes de conseils autres que les conseils divins dans les livres saints ! Voyez, J'assure avec grands soins par Mes anges tous les ans à la floraison des arbres fruitiers non seulement la pollinisation sans lequel aucun fruit ne pourrait se former, croître et mûrir et servir de nourriture aux hommes, mais encore d'écarter dans la mesure du possible des myriades d'esprits impurs qui entachent les fruits et les font tomber avant leur maturité. Ces soins minutieux sont également apportés à toutes les plantes et céréales qui servent de nourriture aux hommes. Mais l'homme spirituellement aveugle ne le reconnaît pas, il dévore tout à l'instar des polypes du moment que cela flatte son palais; il ne faut pas s'étonner alors qu'après un certain temps il devienne malade, paresseux et misérable, accablé de toutes sortes d'infirmités ! C'est ainsi que toutes ces sortes de délices sont non seulement mauvaises et préjudiciables pour les femmes enceintes et encore plus pour les enfants à naître, mais sont encore plus toxiques que le plus mauvais des cafés! Mais les gourmands avalent tout avec avidité par gourmandise du moment que c'est appétissant, mais encore une fois, ce sont les enfants à venir qui en souffriront le plus, et les parents ensuite. Mais ils s'en moquent, ils disent qu'importe! Nous avons déjà mangé pire, pourquoi devrions nous priver de ce qui nous fait plaisir? ! Devant cet aveuglement, Moi le Seigneur Je vais préciser encore une fois, comme Je l'ai fait par Abraham et Moise les aliments sains qui conviennent aux hommes, et tous ceux qui suivront Mes indications seront en bonne santé et le resteront jusqu'à un age très avancé. Par contre tous ceux qui n'en tiendront pas compte, périront comme les bêtes sauvages dans le désert. » (Le grand évangile de Jean Vol. I Chap. 242,1-14 )

Votre texte...

Par Estelle Vereeck
posté le 07 juillet à 18:44
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Chère madame, Il le peut certainement, si ce n'est que dans ce cas, sa déglutition n'évolue pas et que cela crée de nombreux problèmes. Le mécanisme d'évolution de la déglutition est expliqué dans mon livre Orthodontie, halte au massacre.

Par sandrine
posté le 27 mai à 09:35
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oh mon Dieu ! Ne vous est-il pas venu à l'idée qu'un enfant peut mastiquer ET têter sans aucun pb ? qu'une fois la diversification venue un enfant mange des solides et tête dans la même journée ? je ne vois vraiment pas en quoi 2 ou 3 têtées par jour peuvent gêner le développement de la machoire d'un enfant et encore moins son développement psychologique.

Cette idée ne peut venir que d'une méconnaissance totale de ce qu'est un allaitement long ... dommage !

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