Elle déclare en effet que le vote au Parlement « n'empêchera pas la France d'adopter son projet de loi ». De fait, la coupure de l'abonnement n'intervient qu'après plusieurs avertissements, lesquels ne représentent pas « une atteinte aux droits et libertés fondamentaux ». Du courage, tout de même, cette Christine, qui persiste jusqu'au bout à soutenir un projet insensé. Et de ruer dans les brancards, en ajoutant : « Cet amendement est une machine de guerre politique poussée par quelques députés socialistes français. » Bien sûr de son côté, elle va faire en sorte que soit préservée « l'unanimité du Conseil européen ».
Le 29 avril, ça va vraiment saigner...
