
Encore une fois, il affirme que le livre ne présente aucun élément choquant ni dévalorisant pour les musulmans et qu'il est au contraire très bien renseigné, comblant nos lacunes « dans la compréhension de cette période ».
L'un des deux accusés est actuellement chômeur, mais tous deux auraient visité par deux fois, les 9 et 14 septembre la propriété où se trouve la maison d'édition. L'éditeur a ainsi formellement reconnu M. Waters et Mirza, qui aujourd'hui vend des téléphones portables.
La police a trouvé les mobiles des deux personnes dans le taxi du troisième larron qui les attendaient, ainsi que de photographie de l'immeuble. Le procès continue...