Après la fleur au fusil, les pages sur la , avec ce salon que l'Armée de terre lance cette année, La plume et l'épée. La cible est clairement définie : mettre à la page la culture militaire dans les livres, stimuler la création dans le domaine et créer un prix pour les auteurs écrivant sur le métier.
Garde-à-vous !
Le CoFAT, Commandement de la formation de l'armée de terre, explique dans un communiqué qu'il souhaite, avec cette manifestation « mettre en lumière ceux qui, tout en remplissant des fonctions opérationnelles, consacrent du temps à l'écriture sur le métier des armes. Ils sont nombreux, méconnus et ont du talent ».
Rompez.
Le lieutenant-colonel Jean-François Plantec, interrogé par l'AFP ajoute que les missions sont clairement établies : dynamiser la production écrite, mettre à l'honneur les écrivains, récompenser - ça on fait bien dans l'armée - et inciter à écrire.
D'ailleurs, deux prix seront remis : L'épée et la plume, dotée d'une sculpture et de 4000 €, pour une oeuvre écrite après 2003 parlant de défense, et La plume et l'épée - confondez pas, soldats ! - toujours avec une sculpture et 3000 €, pour un livre paru après 2007, traitant du même sujet.
Les oeuvres seront de tous genres possibles, avec trois candidats pour chaque catégorie. Le jury est composé de journalistes, militaires, académicien (un seul), et universitaires.
Repos.
« La pensée militaire n'émanant pas que des militaires, ce forum est ouvert aux auteurs issus du monde civil. Des tables rondes seront organisées pour qu'il y ait des échanges » précise le lieutenant-colonel.