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Matin mou

Par Philippe Di Folco
Il y a des matins comme รงa : on ressent l'automne.
Un mail plein de resenti y concourre.
Un malentendu ?
Quelqu'un qui se dit blessé, qui imagine que je fais allusion à des choses dont j'ignore tout.
Quel grand naïf je fais. Je suis transparent. Je n'ai pas d'ennemis.
Que des amis remplis d'âmes seules.
Entourés de singes hurleurs.
Un homme seul : il a tant de problème à régler avec le pouvoir.
Sa mission. Ses moulins. Sa triste figure si belle.
Et comme je l'aime au fond : sans rien en attendre. S'il savait que ces livres sont couverts de mes petites notes, de remarques idiotes... s'il savait que certains passent du temps penchés sur "ses pensées pas si bêtes" (JFB).
Mais il ne veut pas le savoir.
Il a peur d'aimer.
Il est entouré de taux d'intérêt portant des masques humanoïdes.
Il souffre.
Il paranoïde.
Il se trompe sur la définition du mot "ami".
Il n'a pas bien lu Ramon Llulle le catalan.
Et son ami Di Folco.

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