Travail: vente à la découpe

Vente à la découpe! On connaissait les OPA sur les sociétés. Cela consiste à acquerir de manière plus ou moins honnête la richesse d'une autre société. L'objectif est de racheter la société puis de la découper en morceaux plus faciles à vendre.

Aujourd'hui c'est le travail qu'on découpe, et la richesse qu'il a créé: ses retraites, sa solidarité, les étalissements publics, les concessions de service public. 50 ans de travail après guerre.

Le plus étonnant est que personne ne s'insurge vraiment. La communication est parfaite. Les messages sont culpabilisants. Pas assez de travail. Pas d'assez bon travail. Trop de solidarité.

Personne n'évoque la gabegie des élites pendant toutes ces années. Ou a minima leur extraordinaire soumission à des ordres imbeciles! Et le silence complice des médias.  Une dictature de la predation généralisée.

Contacts médias:

Comme à la chute du mur de Berlin, tout un système de predation du travail s'effondre. La nomenklatura survivra. Pas les travailleurs.

D'autres prédations généralisées existent en Afrique ou en Asie. Des dictatures affichées qui s'emparent du bien public et les déposent pour leurs vieux jours dans les comptes SUISSES.

Ainsi la police STASI de l'Allemagne de l'EST avait mis en coupe rangée tout un peuple. Ils bénéficient aujourd'hui de confortables retraites, que personne ne conteste, alors que des millions de salariés eux ont été irrémédiablement détruits par leur méthodes en prison. 

Sommes nous collectivement si démunis ? La vraie révolution  serait la responsabilisation pénale ou civile des mandats de gestion du bien collectif privé ou public.

Attention, les élections se profilent dans les mairies. les travaux de voirie se multiplient partout en FRANCE. Pourtant les caisses sont vides. Qui pourra les arreter...

Le Rapport mondial sur la corruption 2007 de Transparency International, qui couvre la corruption dans les

http://www.transparency.org/publications/gcr

La corruption: un problème aux racines mondiales

Les pays et territoires qui enregistrent les notes les plus élevées se trouvent en Europe, en Asie de l’Est et en

Amérique du Nord. Leurs secteurs publics sont relativement dénués de corruption, aidés en cela par une

stabilité politique, une réglementation bien ancrée en ce qui concerne les conflits d’intérêt et l’accès à

l’information ainsi qu’une société civile libre d’exercer son droit de contrôle.

Mais la corruption des responsables publics de haut rang dans les pays pauvres comporte une dimension

internationale qui implique les pays les mieux notés dans l’IPC. Les pots-de-vin sont surtout versés par les

entreprises multinationales dont le siège social se trouve dans les pays les plus riches. Il est inacceptable

que ces entreprises continuent de considérer la corruption dans les marchés à l’exportation comme une

stratégie d’affaire légitime.

systèmes judiciaires, a été publié en mai 2007. Il est consultable et téléchargeable sur: