de J.J Marric
Gideon fronçait le sourcil, parce que certains aspects de l'affaire Benito Lucci le chiffonnaient. Il avait été accusé de proxénétisme et relâché après versement de deux fois cinq mille livres de caution par un associé et un avoué. Que Lucci fût riche ne voulait pas dire qu'il était le chef de bande et Gideon mettait en doute le rapport des deux directeurs de Lucci, qui l'accablait...
Editions PRESSES DE LA CITE