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Whatever work

Par Giuglio
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Réalisé par Woody Allen

Avec Larry David, Evan Rachel Wood, Ed Begley Jr. Plus...

Film américain.

Genre : Comédie, Romance

Durée : 1h 32min.

Année de production : 2009

Distribué par Mars Distribution

Synopsis:

Boris Yellnikoff est un génie de la physique qui a raté son mariage, son prix Nobel et même son suicide.

Désormais, ce brillant misanthrope vit seul, jusqu'au soir où une jeune fugueuse, Melody, se retrouve affamée et transie de froid devant sa porte.

Boris lui accorde l'asile pour quelques nuits.

Rapidement, Melody s'installe.

Les commentaires cyniques de Boris n'entament pas sa joie de vivre et peu à peu, cet étrange couple apprend à cohabiter.

Malgré son esprit supérieur, Boris finit par apprécier la compagnie de cette simple jeune femme et contre toute attente, ils vont même jusqu'à se marier, trouvant chacun leur équilibre dans la différence de l'autre.


Un an plus tard, leur bonheur est troublé par l'arrivée soudaine de la mère de Melody, Marietta. Celle-ci a fui son mari, qui l'a trompée avec sa meilleure amie.

Découvrant que sa fille est non seulement mariée, mais que son époux est un vieil excentrique bien plus âgé qu'elle, Marietta s'évanouit.

Pour détendre l'atmosphère, Boris emmène Melody et sa mère au restaurant avec un ami, Leo Brockman...

Mon avis:

On avait cru comprendre ces dernières semaines que le célèbre réalisateur déconnait un peu.

Il voudrait faire jouer Carla Bruni dans un de ses prochains films!!!



A voir ce film qui sent le rance on comprend mieux: il radote.


Si son précédent film (Vicky, Cristina, Barcelona) se laissait voir ; "whatever Works" tiré d'un scénario qu'il avait écrit dans les années soixante dix  puis abandonné (suite au décès de l'acteur principal) fait sans aucun doute parti de ce qu'il a fait de moins intéressant dans sa filmographie


Un film "verbeux", bavard, dépassé qui finit rapidement par ennuyer le spectateur.

Mégalo et misanthrope: on savait et il le confirme ici.

Décevant et ennuyeux mis à part un ou deux moments où l'on s'amuse un peu sur cet air de "déjà vu".


A trop en faire  Woody Allen finit par nous fatiguer avec un cinéma qui sent la sénilité avancée.

On peut éviter


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